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Un projectile est lancé à partir du sol vers le haut d’un immeuble de hauteur h avec une vitesse initiale de 50 m.s-1 avec un angle de 60°. 5 secondes après son tir le projectile arrive au point O. On négligera les frottements dus au vent et à la résistance de l’air et on prendra l’axe Oz orienté vers le haut. g=10 m.s-2; sin(60 )~ 0,8 ; cos(60°) = 0,5 ; 725½~27 ; 625½~25. La hauteur de l'immeuble est 75 m. Vrai. y (t)=-5 t2 + 50 *0,8 t ; y(5) = -5*25+50*0,8*5 = -125+200 =75 m. La vitesse du projectile juste avant l’impact au point O est d’environ 27 m.s-1. Vrai. vx(5) =50*0,5 = 25 m/s ; vy(5) =-10*5 +50*0,8 = -10 m/s v(5) = [252 +(-10)2]½ =725½~27 m/s. La hauteur maximale est atteinte par le projectile 4 secondes après le tir. Vrai. Lorsque la hauteur maximale est atteinte, la composante verticale de la vitesse est nulle. -10t+50*0,8 = 0 ; t = 40/10 = 4 s. y (t)=-5 t2 + 50 *0,8 t ; y(4) =
-5*16+50*0,8*4 = -80+160
=80 m.
Lors d’un match de volley en plain air, un volleyeur de l’équipe bleue au service frappe à la volée un ballon de masse M=0,5 kg situé à une hauteur h=2 m au dessus du sol avec une vitesse initiale v0=10 m/s sous un angle de 45°. Un des joueurs de l’équipe rouge, positionné à x0=15 mètres du premier joueur, souhaite intercepter le ballon lorsque celui-ci est à une hauteur H=3,5 m et commence à courir vers le filet à une vitesse V. Il y a un vent de force constante F=1 N qui s’exerce parallèlement au sol sur le ballon et le freine, celui-ci étant à une hauteur H=3,5 m. cos 30 = 0,8 ; sin 30 = 0,5 ; 30½~5,5 ; g = 10 m/s2. Les équations horaires du ballon s'écrivent. Vrai. xb(t) =v0 cos a t-½F/m t2 ; yb(t) =h+v0 sin a t-½g t2. Le joueur de l’équipe rouge a un mouvement xj(t) = x0-vj xt. Vrai. Il tape sur le ballon à la hauteur H à l’instant t= 15 s en xb=7 m. Faux. yb= -5 t2 + 10*0,7 t +2. 3,5=-5t2 +7t +2 ; 5t2 -7t +1,5=0 ; t2 -1,4 t +0,3=0 D½ =0,87 ; t1= 1,14 s ; t2 = 0,27 s. Abscisses du ballon : x=-1/(2*0,5) t2+10*0,7 t =- t2+7 t ; x1 = 6,7 m ; x2 = 1,8 m. Sa vitesse pour réussir à taper sur le ballon à la hauteur H est environ 8 m/s. Vrai. xj(t) = x0-vj xt ; vj x= (15-xj)/t ; v1 =(15-6,7)/1,14 = 7,3 m/s ; v2 =(15-1,8)/0,27 = 50 m/s (impossible).
Une petite bille de forme parfaitement sphérique de rayon 5 mm et de masse volumique r= 2,0 103 kg/m3, tombe au centre d'un tuyau cylindrique de rayon 50 cm remplie d'eau. La bille est initialement à 1 m au dessus de la surface de l'eau. On néglige les frottements de l'air. L'origine des temps est prise à l'instant du contact avec l'eau. Le niveau de référence pour l'énergie potentielle est la surface de l'eau. On prendra g = 10 N/kg ; p~3 ; 20½~4,5. L'énergie potentielle de pesanteur initiale de la bille est 1 J. Faux. Volume de la bille V=4/3pr3~4*(5 10-3)3=5 10-7 m3. Masse de la bille : m = rV=2 103*5 10-7 =10-3 kg. Energie potentielle initiale Ep =mgh = 10-3*10*1 = 0,01 J. La vitesse de la bille à l'instant où elle touche l'eau est de l’ordre de 10 m/s. Faux. La bille est en chute libre : on choisit un axe vertical orienté vers le bas dont l'origine est la position initiale de la bille. z=½gt2 ; z=5t2 ; v=gt = 10 t soit v2 = 2gh = 20 : v~4,5 m/s. L'énergie cinétique perdue par la bille au cours du choc est transférée au milieu liquide. On observe des ondes progressives transversales à la surface de l'eau se propageant dans toutes les directions à partir du point d'impact. L'onde touche le bord de la cuvette à l'instant t=0,1 seconde. La célérité des ondes à la surface de l'eau est de 5 m.s-1. Vrai. 0,5 m parcouru en 0,1 s : c= 0,5/0,1 = 5 m/s. La célérité de l'onde est modifiée si la goutte tombait de 50 cm de haut au lieu de 1 m. Faux. L'énergie transmise au milieu liquide serait plus petite. La vitesse dépend des caractéristiques du milieu de propagation de l'onde.
On considère un solide ponctuel de masse m=1 kg glissant, sans vitesse initiale, à partir du point A sur un demi-cercle vertical de rayon de 1 m et prolongé par une piste horizontale BC, de 2 m de longueur, caractérisée par une force de frottements F= m R avec m =0,25 et R réaction normale entre le support et le solide. Le solide M continue son trajet et percute alors un ressort de raideur k qu'il comprime de 10 cm. On donne g=10 m s-2 ; 10½~3,15. La vitesse que doit avoir la masse au point B est vB=6 m/s. Faux. Ecrire le théorème de l'énergie cinétique entre A et B : DEc = ½mv2B-0. Travail moteur du poids en descente : mgr = 10 J. Entre A et B, il n'y a pas de frottement ; l'action du plan est perpendiculaire à la vitesse : son travail est donc nul. par suite : ½mv2B=mgr= 10 ; v2B=20 ; v~ 4,5 m/s. Le travail effectué par la force de frottements entre B et C est WBC=5 J. Faux. La force de frottement est colinéaire à la vitesse mais de sens contraire ; WBC = -F BC = - m R BC avec de plus R=mg = 10 N WBC = -0,25*10*2 = - 5 J. La vitesse du solide au point C est vC=3,15 m/s. Ecrire le théorème de l'énergie cinétique entre A et C : DEc = ½mv2C-0. Travail moteur du poids en descente : mgr = 10 J. Le poids, perpendiculaire à la vitesse, ne travaille pas entre B et C. Travail résistant des frottement : -5 J ; somme des travaux : 5 J. ½mv2C=5 ; v2C=10 ; vC=3,15 m/s. Vrai. La constante de raideur de ce ressort est de 1000 N.m-1. Vrai. Au cours de la compression du ressort, l'énergie cinétique en C est convertie en énergie potentielle élastique : ½mv2C=5 = ½kDx2 ; k =10/ Dx2 =10/0,12 = 1000 N m-1. |
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