condensateur, dipôle RLC. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de Cookies vous proposant des publicités adaptées à vos centres d’intérêts. |
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Tension initiale aux bornes du condensateur : U=12 V Quelle est l'énergie maximale (mJ) emmagasinée dans le condensateur ? Constante de temps t = RC=11,4 d'où C=11,4/33 000 = 0,345 10-3 F. énergie maxi : ½CU² = 0,5*0,345 10-3*122 =0,0249 J = 24,9 mJ. Un circuit RLC comporte un condensateur (C=10 mF) et une bobine d'inductance 180 mH. Initialement le condensateur est chargé sous une tension de 15 V. Au bout de 100 oscillations, l'énergie électrique initialement emmagasinée dans le condensateur a diminué de 80%. Calculer la puissance moyenne (en mW) dissipée dans ces 100 oscillations. Période du dipole LC : T= 2p(LC)½ = 6,28 *(0,18*10-5)½ = 8,43 10-3 s. 100 périodes = 0,843 s Energie initiale stockée dans le condensateur : ½CU² = 0,5 *10-5*152 =1,12 10-3 J énergie perdue : 0,8 *1,12 10-3 =9,0 10-4 J puissance (W) = énergie perdue (J) / durée (s). P= 9,0 10-4 /0,843 =1,1 10-3 W = 1,1 mW. La décharge d'un
condensateur à travers une résistance
est d'autant plus rapide que la constante de temps
est grande.
Faux. t=RC ; la
durée de la décharge est voisine de
5t. La durée de la décharge est
proportionnelle à R. Pour augmenter la
constante de temps d'un circuit RC on peut diminuer
la capacité du condensateur.
Faux. La constante de temps
t
est le temps au bout duquel la charge et la
décharge d'un condensateur sont
réalisées à 63%.
Vrai. Lorsqu'on écarte
les armatures d'un condensateur plan
électriquement isolé,
l'énergie emmagasinée par le
condensateur diminue.
Faux. L'énergie augmente du travail fourni par
l'opérateur pour écarter les
armatures. Dans un circuit RC
l'intensité du courant s'annule lorsque la
charge du condensateur est
terminée.
Vrai.
Un condensateur initialement déchargé de capacité C et un conducteur ohmique R sont associés en série aux bornes d'un générateur idéale de tension de force électromotrice E= 9,0 V. A l'instant t=0, on ferme l'interrupteur K et on relève l'intensité du courant dans le circuit en fonction du temps t. Déterminer les valeurs de la résistance R (kW) et de la capacité C (mF). à t= 0 le condensateur est déchargé ( la tension à ces bornes est nulle) et la tension aux bornes du résistor est E=9V, alors que l'intensité du courant vaut 0,015 A. d'où R = E/I= 9 /0,015 = 600 W soit 0,6 kW. La constante de temps du circuit vaut t= 0,6 ms ( mlecture graphe) soit RC= 6 10-4 s. C= t
/ R = 6 10-4 / 600 = 10-6 F
= 1
m
F.
Une petite bille de forme parfaitement sphérique de rayon 5 mm et de masse volumique r= 2,0 103 kg/m3, tombe au centre d'un tuyau cylindrique de rayon 50 cm remplie d'eau. La bille est initialement à 1 m au dessus de la surface de l'eau. On néglige les frottements de l'air. L'origine des temps est prise à l'instant du contact avec l'eau. Le niveau de référence pour l'énergie potentielle est la surface de l'eau. On prendra g = 10 N/kg ; p~3 ; 20½~4,5. L'énergie potentielle de pesanteur initiale de la bille est 1 J. Faux. Volume de la bille V=4/3pr3~4*(5 10-3)3=5 10-7 m3. Masse de la bille : m = rV=2 103*5 10-7 =10-3 kg. Energie potentielle initiale Ep =mgh = 10-3*10*1 = 0,01 J. La vitesse de la bille à l'instant où elle touche l'eau est de l’ordre de 10 m/s. Faux. La bille est en chute libre : on choisit un axe vertical orienté vers le bas dont l'origine est la position initiale de la bille. z=½gt2 ; z=5t2 ; v=gt = 10 t soit v2 = 2gh = 20 : v~4,5 m/s. L'énergie cinétique perdue par la bille au cours du choc est transférée au milieu liquide. On observe des ondes progressives transversales à la surface de l'eau se propageant dans toutes les directions à partir du point d'impact. L'onde touche le bord de la cuvette à l'instant t=0,1 seconde. La célérité des ondes à la surface de l'eau est de 5 m.s-1. Vrai. 0,5 m parcouru en 0,1 s : c= 0,5/0,1 = 5 m/s. La célérité de l'onde est modifiée si la goutte tombait de 50 cm de haut au lieu de 1 m. Faux. L'énergie transmise au milieu liquide serait plus petite. La vitesse dépend des caractéristiques du milieu de propagation de l'onde.
On considère un solide ponctuel de masse m=1 kg glissant, sans vitesse initiale, à partir du point A sur un demi-cercle vertical de rayon de 1 m et prolongé par une piste horizontale BC, de 2 m de longueur, caractérisée par une force de frottements F= m R avec m =0,25 et R réaction normale entre le support et le solide. Le solide M continue son trajet et percute alors un ressort de raideur k qu'il comprime de 10 cm. On donne g=10 m s-2 ; 10½~3,15. La vitesse que doit avoir la masse au point B est vB=6 m/s. Faux. Ecrire le théorème de l'énergie cinétique entre A et B : DEc = ½mv2B-0. Travail moteur du poids en descente : mgr = 10 J. Entre A et B, il n'y a pas de frottement ; l'action du plan est perpendiculaire à la vitesse : son travail est donc nul. par suite : ½mv2B=mgr= 10 ; v2B=20 ; v~ 4,5 m/s. Le travail effectué par la force de frottements entre B et C est WBC=5 J. Faux. La force de frottement est colinéaire à la vitesse mais de sens contraire ; WBC = -F BC = - m R BC avec de plus R=mg = 10 N WBC = -0,25*10*2 = - 5 J. La vitesse du solide au point C est vC=3,15 m/s. Ecrire le théorème de l'énergie cinétique entre A et C : DEc = ½mv2C-0. Travail moteur du poids en descente : mgr = 10 J. Le poids, perpendiculaire à la vitesse, ne travaille pas entre B et C. Travail résistant des frottement : -5 J ; somme des travaux : 5 J. ½mv2C=5 ; v2C=10 ; vC=3,15 m/s. Vrai. La constante de raideur de ce ressort est de 1000 N.m-1. Vrai. Au cours de la compression du ressort, l'énergie cinétique en C est convertie en énergie potentielle élastique : ½mv2C=5 = ½kDx2 ; k =10/ Dx2 =10/0,12 = 1000 N m-1. |
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