d'après
concours kiné Strasbourg
03
physique 1 h
- chimie ½ h- sans calculatrice.
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dipôles
- Soit le circuit suivant :
L'interrupteur K est fermé. A un instant
considéré comme initial on ouvre
l'interrupteur K. L= 10 mH ; R= 100 W
; E= 10 V, r =10 W.
A- Avant l'ouverture de l'interrupteur,
l'intensité du courant délivré par
le générateur vaut 50 mA.
B- Après ouverture de K la tension aux bornes de
la bobine devient négative.
C- Après ouverture de K la tension aux bornes de
la bobine tend vers zéro.
D- Après ouverture de K, l'énergie
emmagasinée dans la bobine devient
négative.
K fermé : en
régime permanent i = E / résistance du
dipôle
résistance équivalente à r et R en
parallèle : R1 = rR/(r+R) = 10*100 /
(10+100) = 9,09 W.
résistance équivalente à r et
R1 en série : R1+R = 109,09
W.
intensité i = 10/109,1 =
91,6
mA.
uL = R1i = 9,1*0,0916 = 0,83 V
K ouvert : uL décroît de
0,83 V jusqu' à zéro.
C
vrai
l'énergie stockée (½Li² =0,5
*0,01 *0,0916²=4,2 10-5 J) est perdue
sous forme de chaleur dans les résistances r et R.
Cette énergie tend vers
zéro.
- Soit un dispositif réalissant des oscillations
électriques à l'aide d'uncircuit RLC. On
observe la tension aux bornes du condensateur. On donne
t2 = 10 ms.
A- La tension aux bornes du dipôle ohmique est
nulle en t1.
B- Le régime observé est
pseudo-périodique et la pseudo-période vaut
10 ms.
C- On peut considérer que la pseudo-période
vaut environ la période propre du circuit LC non
amorti.
D- L'énergie stockée par le condensateur
à t2 est nulle.
à t1, la
tension uC est nulle : la bobine stocke toute
l'énergie du dipôle et l'intensité
est alors maximale. La tension aux bornes de R n'est pas
nulle uR= Ri
La pseudo-période vaut environ 8 ms.
si l'amortissement est faible , la période propre
du circuit LC est voisine de la
pseudo-période.
à t1, la tension uC est
nulle : le condensateur ne stocke pas d'énergie
C et D
vrais
- On réalise le circuit suivant :
On ferme l'interrupteur. On observe alors la tension
uC aux bornes du condensateur. La solution de
l'équation différentielle
vérifiée par uC s'écrit
:
uC= E(1-exp(-t / (3RC)) ; uC=
E(1-exp(-t / (2RC)) ; uC= E exp(-t / (2RC)-1)
; uC=E exp(-t / (3RC)-1) ;
K fermé : C est
en série avec une résistance égale
à 2R ;
t = 2RC
uC= E(1-exp(-t
/ (2RC))
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ondes
- Dans un milieu dispersif la
célérité d'une onde progressive
périodique mécanique dépend :
A- Uniquement du milieu.
B- De la fréquence de l'onde.
C- De la période de l'onde.
D- de l'amplitude de l'onde
du milieu et de la
fréquence ( donc de la période)
B et C
vrais
- On provoque simultanément à l'instant
t=0 deux perturbations transversales de même forme
et de même sens aux deux extrémités
d'une corde tendue de longueur 10 m. La
célérité des ondes le long de cette
corde est de 20 m/s. A l'instant t=0, l'amplitude de la
perturbation est nulle aux extrémités de la
corde.
A- La corde est représentée à la
date t= 0,10 s.
B- Les fronts des deux ondes se rencontrent à
l'instant t= 0,2 s.
C- La durée de chaque perturbation est de 0,1
s.
D- A l'instant t= 0,3 s on observe une perturbation
transversale unique.
distance parcourue par la
perturbation à t = 0,1 s : d = 20*0,1 = 2 m alors
que le dessin indique 3 m.
à t = 0,3 s , les deux perturbation se recouvrent
exactement ( addition)
C et D
vrais
- Une onde sonore de fréquence 400 Hz se propage
dans une tige métallique avec une
célérité de 3000 m/s.
A- L'onde se propage transversalement
B- Deux points distants de 15 m sont en phase.
C- Deux points distants de 26,25 m sont en opposition de
phase.
D-Deux points distants de 35 m sont en opposition de
phase.
deux points en phase sont
distants de k
l ( k entier) ;
l
= 3000 / 400 = 7,5 m
deux points en opposition de phase sont distants de
(2k+1)
½l
( k entier) ;
26,25 / (0,5*7,5) = 7 ; 35 / (0,5*7,5) =9,3
7 est un entier impair ; 9,33 n'est pas un nombre entier
B et C
vrais
- On observe à l'aide d'un faisceau laser, de
longueur d'onde dans le vide l0
= 600 nm une fente de largeur a = 0,1 mm et de centre O
découpée dans un écran E'. On place
à la distance D= 2 m et parallèlement
à E' un écran E. On observe sur cet
écran une tache centrale brillante de centre A, et
des taches latérales brillantes,
symétriques par rapport à A et de moins en
moins lumineuses à mesure que l'on
s'éloigne de A. Soient B et B' les centres des
taches sombres qui encadrent la tache centrale.
A- Le phénomène observé est celui de
la réfraction de la lumière.
B- L'angle q= angle (AOB),
appelé écart angulaire vaut 0,012 rad.
C- La largeur de la tache centrale vaut 2,4 cm.
D- la position des taches sombres dépend de la
longueur d'onde.
phénomène de
diffraction
angle (AOB) = ½q
= l
/a = 600 10-9 /
10-4 = 6 10-3 rad ;
tan q
= ½largeur tache centrale / D soit largeur = 2 D
tanq
= 2*2*6 10-3 =2,4 10-2 m = 2,4 cm.
C vrai
X2 = 2
X1 et X1 = 2lD/a
D vrai
- L'énergie d'ionisation d'un atome
d'hydrogène pris dans son état fondamental
est de 13,6 eV.
A- Il est impossible d'ioniser un atome
d'hydrogène en le bombardant avec des
électrons de vitesse égale à 1,8
106 m/s
B- Si on se place dans l'hypothèse où
l'atome est ionisé, alors l'énergie de
l'électron émis est quantifiée.
C- La longueur d'onde de la radiation susceptible
d'ioniser l'atome d'hydrogène à partir de
son état fondamental est approximativement de
10-7 m
D- Un électron d'énergie cinétique 2
eV vient heurter un atome d'hydrogène au niveau
correspondant à n=3, d'énergie
E3= -1,5 eV: l'atome s'ionise.
h= 6,63 10-34 J s ; e = 1,6 10-19 C
; c= 3 108 m/s ; masse électron : 9,1
10-31 kg ; 1,8² voisin 3,2.
½mv² = 0,5*9,1
10-31*(1,8 106)² = 4,05*3,64
10-18 = 14,8 10-19J
14,8 10-19 / 1,6 10-19 = 9,2 eV,
insuffisant pour ioniser l'atome car inférieur
à 13,6 eV.
E = 13,6 * 1,6 10-19 = 2,2 10-18 J
;
l
= hc/E = 6,6 10-34*3 108 / 2,2
10-18 = 9 10-8 m
C et D
vrais
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mécanique
- Un oscillateur est constitué par une masse
ponctuelle m = 0,2 kg accrochée à un
ressort de raideur k = 5 N/m. La masse oscille sans
frottement suivant un axe (x'Ox) horizontal sur lequel on
la repère par son abscisse x. Lorsque le ressort
est non allongé, x=0. A l'instant t=0 la masse est
située à l'origine et est animée
d'une vitesse de 60 cm/s vers les x négatifs.
L'équation horaire du mouvement est donnée
dans le système S.I par :
A- x= -0,12 sin(5t)
B- x= 0,6 sin( 0,2t)
C- x= 0,12 sin(5t)
D- x= - 0,6 sin(5t + ½p)
w²
= k/m= 5 / 0,2 =25 et w
= 5 rad/s.
à t = 0 , x=0 donc fonction sinus
conservation de l'énergie mécanique du
système {mase- ressort} : ½ka² =
½mv²max.
a² = m/kv²max = 0,2 / 5 *0,6² =
144 10-4 soit a = 0,12 m
le solide se dirige vers les x négatifs à t
=0 A vrai
- On enregistre l'amplitude oscillatoire d'un
dispositif constitué par un ressort de raideur k
à l'extrémité duquel est fixé
un solide de masse M. L'ensemble est soumis à un
dispositif d'amortissement équivalent à une
force de frottement fluide. Un oscillateur
mécanique impose une fréquence oscillatoire
au système masse ressort. On relève
l'amplitude oscillatoire en fonction de la
fréquence imposée par l'excitateur pour
deux amortissements différents, l'un faible,
l'autre plus fort. k= 1,8 N/m et M= 0,5 kg.
A- La courbe 1 correspond à l'amortissement le
plus faible.
B- La pulsation du système ressort-masse vaut
environ 6 rad/s.
C- Les deux courbes caractérisent un
phénomène de résonance.
D- Seule la courbe 2 caractérise un
phénomène de résonance.
fréquence de
résonance f = 1 Hz ; w
= 2p
f = 6,28 rad/s.
courbe 2 : faible amplitude, amortissement grand, donc
résonance "floue", peu marquée.
A et B
vrais
- Une bille d'acier de rayon r = 5 mm tombe
verticalement dans l'eau. La valeur de la force de
frottement fluide exercée par l'eau a pour
expression F= KAreauV²
où A = pr² est la surface de la section
droite de la bille et K un coefficient constant qui
dépend de la forme du solide. On néglige la
poussée d'Archimède. reau=
1000 kg/m3 ; racier
= 8000 kg/m3 ; K= 0,2 ; g = 10 m/s² ;
racine carrée (8/3)=1,6 ; racine carrée
(20/3)= 2,6.
A- L'équation différentielle du mouvement
du centre d'inertie G de la bille est : mdv/dt +
KAreauV² =
mg.
B- L'équation différentielle du mouvement
du centre d'inertie G de la bille est : mdv/dt -
KAreauV² =
mg.
C- La valeur de la vitesse limite est 2,6 m/s.
D- La valeur de la vitesse limite est 1,6 m/s.
poids, vertical vers le bas
, valeur mg ;
frottement, vertical vers le haut, valeur :
KAreauV²
la seconde loi de Newton s'écrit, en projection
sur un axe vertical vers le bas :
mg-KAreauV²
= ma = mdv/dt
mdv/dt + KAreauV²
= mg
vitesse limite v²lim = mg /
(KAreau)
volume de la bille : 4/3 p
r3 ; masse de la bille : 4/3
p
r3 racier
; K= p
r²
v²lim =4rg racier
/ (3Kreau)
= 4*5 10-3 *10*8000/(0,2*3*1000)= 8/3 ; vlim =
1,6
m/s.
A et D
vrais
- Un satellite de masse m, considéré
comme ponctuel, est mis en orbite circulaire autour du
centre de la terre. Il évolue à une
altitude z par rapport à la surface de la terre.
La terre est de rayon R et de masse M.
A- Le satellite subit une force d'attraction de valeur :
F=GM/(R+z)²
B- L'accélération du satellite est
centrifuge.
C- La période de révolution du satellite
est T= 2p(R+z)3/2 /
(GM)½.
F= MGm / (R+z)² ; a =
GM/(R+z)² = v²/(R+z)centripète
v² = GM/(R+z);
période T : durée pour décrire une
circonférence de rayon R+z à la vitesse
v
2p(R+z)
= vT soit 4p²(R+z)²
= v²T² = GM T²/(R+z);
T² = 4p²(R+z)3
/ (GM). C
vrai
- On considère le mouvement du centre d'inertie
G d'un solide en chute libre lancé verticalement
à partir du sol, dans un champ de pesanteur
uniforme avec une vitesse v0 non
nulle.
A- La trajectoire de G est toujours une parabole.
B- Au sommet de la trajectoire , vG est
nulle.
C- La valeur vG de la vitesse de G
dépend de l'altitude du projectile et de sa
vitesse initiale.
D- L'altitude du sommet ne dépend que de la valeur
v0 de la vitesse initiale.
lancé vertical :
trajectoire rectiligne
au sommet de la trajectoire verticale, la vitesse est
nulle
conservation de l'énergie mécanique du
solide : au départ : ½mv²; au sommet :
mgh ; v² = 2gh
h : différence d'altitude entre le départ
et le sommet ;
h dépend de la vitesse initiale et de g.
B et C
vrais
- A l'intérieur d'un aérostat, l'air
contenu dans une enveloppe est remplacé par du
dihydrogène. On suppose que la masse de
l'enveloppe est de m = 88 kg. La masse de la nacelle est
notée M. l'enveloppe contenant le gaz a un volume
V= 400 m3. L'air environnant a une masse
volumique rair =
1,2 kg/m3 et H2 a une masse
volumique rH2 =
0,08 kg/m3. g = 10 m/s².
A- La valeur de la poussée d'Archimède est
de 4800 N.
B- La valeur de la poussée d'Archimède est
de 320 N.
C- La valeur maximale de M pour que l'aréostat
décolle est de 392 kg.
D- La valeur maximale de M pour que l'aréostat
décolle est de 360 kg.
poussée
d'Archimède due à l'air extérieur :
Vrair
= 400*1,2*10 = 4800 N
poids de la nacelle, de l'enveloppe et du
dihydrogène ( enveloppe fermée) : g(M+88 +
0,08*400 )= (120+M)g
si 4800 >(120+M)g alors on décolle ; M<360
kg
A et D
vrais
- On a représenté la vitesse v en
fonction du temps pour un mobile se
déplaçant sur un plan horizontal.
A- Le mouvement du mobile est uniforme durant les 4
premières secondes.
B- la valeur de l'accélération du centre
d'inertie du mobile à t = 5s = est de 10
m/s².
C- Le mouvement du mobile ne peut qu' être
rectiligne durant les 4 premières secondes.
D- Le mouvement du mobile change de sens à t =
5s.
0<=t<2s : la valeur
de la vitesse décroît de 10 à 0 m/s a
= (0-10)/2 = -5 m/s²
à t = 2s, arrêt puis changement de sens.
2<t<=4s , la valeur de la vitesse croît de 0
à 10 m/s ; a = 10/2 = 10 m/s²
4<t<=5, la valeur de la vitesse est constante,
mouvement uniforme.
5<t<=6, la valeur de la vitesse
décroît de 10 à 0 ; a = -10
m/s². C
vrai
- Un skieur de masse m=90 kg s'élance à
partir d'une position de repos sur une piste rectiligne,
inclinée d'un angle a =
30° par rapport à l'horizontale. La valeur F
des forces de frottements varie avec la vitesse selon la
loi F= kv² avec k=0,5.
A- k est en kg m-1.
B- L'équation différentielle du mouvement
du centre d'inertie de G du skieur est : mg sin 30 -
kv² = m dv/dt.
C- L'équation différentielle du mouvement
du centre d'inertie de G du skieur est : mg cos 30 -
kv² = m dv/dt.
D- La vitesse limite que peut atteindre le skieur au bout
d'un temps très long est 30 m/s.
F=kv² soit k =
F/v²; force = masse * accélération :
kg m s-2 ; vitesse ² : m²
s-2.
k : kg m s-2 m-2 s² soit kg
m-1.
poids du skieur, vertical vers le bas, valeur mg
frottement parallèle au plan, sens contraire
à la vitesse, valeur F=kv²
action normale du plan, perpendiculaire au plan, valeur
N=mg cos30
la seconde loi de Newton s'écrit sur un axe
parallèle au plan dirigé vers le bas :
mg sin 30 -kv² = ma = mdv/dt
vitesse limite v²lim =mg sin 30 /k =
90*10*0,5 / 0,5 = 900 ; vlim = 30 m/s.
A, B et D
vrais
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radioactivité
- Un laboratoire étudie un échantillon de
césium 137 de date de fabrication et de masse
inconnues. Le graphe représente l'évolution
de la masse de césium 137 en fonction du temps. La
demi-vie du césium 137 est : 1957 ans ; 1965 an ;
35 ans ; 30 ans.
à t½ la masse
initiale de 137Cs est divisée par deux: lecture
graphe t½= 35
ans.
- On considère une substance radioactive qui
émet 2 107 particules alpha par seconde
et dont la demi-vie est 10 s. Le nombre de noyaux
radioactifs dans cette substance est : 2 108 ;
1,4 106 ; 1,4 107 ; 2,9
108.
A = 2 107 Bq; A=
lN
avec l
= ln2 / t½ = 0,7 / 10 = 0,07 s-1.
N= A/l
=2 107 / 0,07 = 2/7 109 =
2,9 108
noyaux.
- Données : plomb 82Pb;
uranium 92U.
L'uranium 238 subit plusieurs
désintégrations successives de type
a et b
- et se transforme en plomb 206. Le
nombre de désintégrations de chaque type
pour passer de l'uranium 238 au plomb 206 est :
A- 8 désintégrations de type a
et 6 désintégrations de type b
-.
B- 6 désintégrations de type a
et 8 désintégrations de type b
-.
C- 8 désintégrations de type a
et 1 désintégrations de type b
-.
D- 4 désintégrations de type a
et 3 désintégrations de type b
-.
23892U-->
93AX + -10e Z
augmente de1 et A est constant
23892U-->
91234Y + 24He
Z diminue de 2 et A diminue de 4.
or 238-206 = 32 donc 8 désintégrations
a.
8 désintégrations a
entraînent une diminutions de 16 pour Z
or Z diminue seulement de 92-82 = 10 ; donc 6
désintégrations b
-.
A
vrai
- Le diagramme énergétique de l'atome de
sodium est donné.
On considère un atome de sodium non
excité. h= 6,62 10-34 Js ; c= 3
108 m/s ; e = 1,6 10-19 C; raie
jaune du sodium l= 589 nm ;
Les photons visibles ont des énergies comprises
entre 1,6 et 3,1 eV.
A- l'énergie d'ionisation de l'atome de sodium
vaut 8 10-19 J.
B- La transition entre les niveaux -1,93 eV et -5,14 eV
correspond à une radiation UV.
C- Lorsque l'atome de sodium absorbe de l'énergie,
son énergie diminue.
D- La transition entre les niveaux - 1,93 et -1,51 eV
correspond à une radiation du système
visible.
5,14*1,6 10-19 =
8,2 10-19 J
E= 5,14-1,93 = 3,21 eV; 3,21*1,6 10-19 = 5,14
10-19 J
l
= hc/E =6,6 10-34 *3 108 /
5,14 10-19 = 3,85 10-7 m = 385 nm
(U.V)
E= 1,98-1,51 = 0,42 eV valeur située hors de
l'intervalle [1,6 ; 3,1 eV] des énergies
des photons du domaine visible.
A et B
vrais
- Le spectre d'émission de l'atome
d'hydrogène présente plusieurs raies
d'émission dans le visible. Les longueurs d'onde
exprimées en nm corespondant aux transitions sont
: 656 nm ; 486 nm ; 434 nm ; 410 nm. le niveau
fondamental est situé à -13,6 eV.
A- L'énergie de l'atome d'hydrogène est
quantifiée.
B- La raies à 656 nm est celle des photons
émis de plus faible énergie.
C- Si l'énergie apportée à l'atome
d'hydrogène est supérieure à 13,6
eV, l'atome est ionisé.
D- La lumière émise par l'hydrogène
est rouge.
l
= hc/DE
; l
est d'autant plus grand que
DE
est plus petit.
la lumière émise
correspond à un spectre de raies d'émission
656 nm ( jaune) ; 486 nm 434 nm et 410 nm (vet bleu
violet)
A, B et C
vrais
|
chimie
- On dose 100 mL d'une solution d'hydroxyde de sodium
(placée dans un bécher ) par une solution
d'acide chlorhydrique ( placée dans la burette).
On place un conductimètre dans le bécher et
on mesure la conductance G au cours du dosage. On
néglige l'effet de dilution.l(H3O+)=
35 10-3 S.I ; l(HO-)=
20 10-3 S.I ; l(Na+)=
5 10-3 S.I ; l(Cl-)=
8 10-3 S.I ;
A- On obtient la courbe suivante qui représente
l'évolution de G en fonction du volume de solution
d'acide chlorhydrique versé.
B-Après l'équivalence, l'avancement de
la réaction de dosage ne cesse d'augmenter
C- A l'équivalence on obtient une solution de
chlorure de sodium
D- Après l'équivalence le réactif
titré devient le réactif limitant.
Na+ et
HO- dans le bécher ; ajout
H+ et Cl- ; H+ +
HO- --> H2O
avant l'équivalence : cela revient à
remplacer HO- par Cl- ; or
l(Cl-)<l(HO-)
donc la conductivité s
diminue dans le bécher
après l'équivalence on ajoute H+
par Cl- donc s
augmente
de plus s
et la conductance G sont proportionnelles.
A, C et D
vrais
- L'ion fer II peut être oxydé par l'ion
permanganate en milieu acide. On utilise cette
réaction pour doser une solution contenant des
ions fer II. Couples redox : MnO4-
/ Mn2+ ; Fe3+ /
Fe2+.
A- L'équation bilan de la réaction de
dosage est : MnO4-+ 5
Fe2++ 8H+--> Mn2+ +5
Fe3++4H2O
B- On a à l'équivalence la relation
n(MnO4-)versé = 5
n( Fe2+) dosé.
C-Avant l'équivalenc, le bécher contenant
les ions fer II est de couleur rose violacée.
D- A l'équivalence, la quantité de
matière initiale du réactif titré
est égale à la quantité de
matière introduite du réactif titrant.
5 fois{ Fe2+ =
Fe3+ +
e-} oxydation
MnO4- + 8H+ + 5
e- = Mn2+ + 4H2O
réduction
MnO4-+
5 Fe2++ 8H+--> Mn2+
+5 Fe3++4H2O
|
MnO4-
ajouté
|
+ 5
Fe2+.
|
initial
|
0
|
nFe2+
|
en cours
|
x
|
n(
Fe2+) -5x
|
équivalence
|
n(MnO4-)
= xéqui
|
n(
Fe2+)
-5xéqui =
0
|
xéqui = n(MnO4-)
= n( Fe2+) /5.
avant l'équivalence la solution dans le
bécher est incolore ( Fe2+ en
excès) ; après l'équivalence la
solution est violette (MnO4- en
excès. A
vrai
- On dispose d'une solution aqueuse de chlorure de fer
III. On mesure la conductance de cette solution à
l'aide d'une cellule conductimétrique,
constituée de 2 électrodes
parallèles de surface S, distantes de L.
A- La conductivité de la solution est
donnée par la relation : s
= l(Cl-)[Cl-]+3l(Fe3+)[Fe3+].
B- La conductance est donnée par G= s
S/L.
C- La conductivité dépend de la
température de la solution.
D- En changeant de conductimètre, on obtient la
même valeur de la conductance qu'avec le premier.
s
= l(Cl-)[Cl-]+l(Fe3+)[Fe3+]
avec 3 [Fe3+] =
[Cl-]
G (S) = s
(S m-1) S
( m²) / L
(m)
en changeant de cellule de mesure
on modifie S/L, donc G.
B et C
vrais
- La conductivité d'une solution saturée
d'hydroxyde de zinc (Zn2+ + 2HO-)
vaut s =2 10-4
Sm-1. l(Zn2+)
= 10 10-3 S.I ; l(HO-)=
20 10-3 S.I ;
A- La conductivité molaire ionique est
donnée en Sm² mol-1.
B- La solubilité de l'hydroxyde de zinc est
donnée par la relation : s = s
/ (2l(Zn2+)+l(HO-))
C- La solubilité de l'hydroxyde de zinc est s = 4
10-3 mol /L.
D- La solubilité de l'hydroxyde de zinc est s = 5
10-3 mol /L.
s
= l(Zn2+)[Zn2+]
+l(HO-)[HO-]
avec s =[Zn2+] et 2
[Zn2+] = [HO-]
s
= [l(Zn2+)
+2l(HO-)]s
soit s = s
/[l(Zn2+)
+2l(HO-)]=
2 10-4 / (10+2*20)10-3]= 4
10-3 mol m-3.
A
vrai
- Expérience 1 : on ajoute de la poudre
d'argent en excès à une solution de nitrate
de fer (III) de concentration c= 0,01 mol/L. On agite le
système jusqu'à ce que l'équilibre
soit atteint. Les concentrations des espèces
dissoutes valent alors :
[Fe3+]éq=3,3
10-4 mol/L ;
[Fe2+]éq=[Ag+]éq=0,01
mol/L.
Expérience 2 : on introduit dans un
bécher une solution de nitrate de fer (III), une
solution de nitrate de fer (II°, une solution de
nitrate d'argent et un peu de poudre d'argent. Le volume
final de la solution est égal à 1 L. On
donne les concentrations initiales des espèces
chimiques dans le mélange
[Fe3+]i=4 10-5
mol/L ; [Fe2+]i=0,012 mol/L
et [Ag+]i=3 10-3
mol/L
A- L'expérience 1 permet de calculer la constante
d'équilibre K de la réaction. sa valeur est
0,3.
B- L'expérience 1 permet de conclure que le
quotient initial de la réaction est nul.
C-Dans l'expérience 2, la masse d'argent solide va
augmenter.
D- Dans l'expérience 2, la masse d'argent solide
va diminuer.
Fe3+ + Ag =
Fe2+ + Ag+. K =
[Fe2+]éq[Ag+]éq/[Fe3+]éq=
0,01² / 3,3 10-4 = 0,3.
expérience 1 : Qr,i =
[Fe2+]i[Ag+]i/[Fe3+]i=
0 ;
expérience 2 : Qr,i =0,012*3
10-3 / 4 10-5 = 1,2*3/4 = 0,9
valeur supérieure à K , donc
délacement dans le sens indirect : formation
Ag.
A, B, C
vrais
- La charge d'une mole d'électrons est 96500 C.
On considère une pile alcaline dont
l'équation de la réaction de fonctionnement
global est : Zn(s) +
2MnO2(s)+H2O--> ZnO(s) +
2MnO2H(s).
On appelle capacité en charge la valeur
Qmax de la quantité
d'électricité débitée par la
pile. Elle vaut 48250C.
A- La quantité d'électrons
débités par la pile est de 2.
B- La quantité d'électrons
débités par la pile est de 0,5.
C- La quantité de zinc consommé est 0,25
mol.
D- La quantité de zinc consommé est 1
mol.Ag.
n e- = 48250 /
96500 = 0,2 mol d'électrons
Zn + 2HO- = ZnO + H2O +
e- d'où nZn = ½ n
e- = 0,25 mol.
B, C
vrais
- A- Dans un électrolyseur, le courant entre par
l'anode.
B- Dans un électrolyseur, le courant entre par la
cathode.
C- Lors de la décharge, un accumulateur joue le
rôle de récepteur.
D- Lors de la décharge, un accumulateur joue le
rôle de générateur.
A, D
vrais
- Couples oxydant / réducteur :
O2/H2O ;
H2O/H2 ; Pb2+ / Pb ;
H+ / H2.
On effectue l'électrolyse de nitrate de plomb en
utilisant des électrodes inattaquables de
graphite. Les ions nitrates sont indifférents. Il
se dépose du plomb à la cathode et il se
forme un gaz incolore à l'anode.
L'intensité du courant est constante, égale
à 1,2 A. La durée du fonctionnement de
l'électrolyse est de 20 min.
A- Le gaz incolore est le dioxygène.
B- Le gaz incolore est le dihydrogène.
C- La quantité de plomb déposé est
d'environ 15 mmol.
D- La quantité de plomb déposé est
d'environ 7 mmol.
à l'anode oxydation
de H2O : H2O = ½O2
+ 2H+ + 2e-.
à la cathode réduction de : Pb2+
+ 2e- = Pb.
Q= I t = 1,2* 20*60 = 1440 coulombs ; n e- =
1440 / 96500 = 0,015 mol soit 15 mmol
donc nPb = 7,5 mmol
A, D
vrais
- On dissout un acide AH faible dans l'eau pour
réaliser une concentration égale à
c= 0,1 mol/L. On mesure t le
taux d'avancement final de la réaction de
dissolution dans l'eau t =
0,01.
A- La constante d'équilibre de la réaction
vaut K= 10-5.
B- Si la concentration de l'acide augmente alors
t augmente.
C- La valeur du quotient de réaction dans
l'état d'équilibre est indépendant
de la concentration de l'acide.
D- Le pH est supérieur à 5.
K =
[A-]éq[H3O+]éq
/ [AH]éq=t²
c / (1-t)
= 10-4 *0,1 / (1-0,01 ) = 10-5.
K ne dépend que de la température ;
à une température donnée si c
croît alors t
diminue.
[H3O+]éq
=t
c = 0,01*0,1 = 10-3 ; pH=3
A, C
vrais
- L'ion éthylammonium est un acide faible dont
la base conjuguée est l'éthylammine. La
réaction de dissolution de cet acide dans l'eau
conduit à un équilibre chimique suivant la
réaction :
C2H5NH3+ +
H2O = C2H5NH2
+ H3O+. La constante
d'équilibre associée à cet
équilibre vaut 2 10-11. On donne log 2
= 0,3 ; log 5 = 0,7 ; Ke = 10-14.
A- Le pka du couple ion éthylammonium /
éthylammine vaut environ 11.
B- L'éthylamine réagit avec l'eau pour
donner une solution basique.
C- la constante d'équilibre de la réaction
de l'éthylamine avec l'eau vaut 5
10-4.
D- La réaction entre l'éthylamine et
l'acide chlorhydrique ne peut pas être
considérée comme totale.
K =
[C2H5NH2]éq[H3O+]éq
/
[C2H5NH3+]éq=
2 10-11 ; log Ka = log 2-11 ; -logKa = pKa =
-0,3+11 = 10,7
C2H5NH2
+ H2O
=C2H5NH3+
+ HO- ;
K1
=[HO-][C2H5NH3+]
/
[C2H5NH2]=[HO-]
[H3O+]
[C2H5NH3+]
/
([C2H5NH2][H3O+])=
10-14 / 210-11 = 5 10-4.
C2H5NH2+
H3O+-->C2H5NH3+
; K2
=[C2H5NH3+]
/
([C2H5NH2][H3O+])=
1/K = ½ 1011.
A, B, C
vrais
- On dissout dans 500 mL d'une solution d'acide
éthanoïque de concentration c1 =
0,1 mol/L et de pH=1,9, une quantité égale
à 0,05 mol d'éthanoate de sodium solide. Le
pka du couple acide éthanoïque / ion
éthanoate vaut 4,8.
A- Le pH de la solution diminue après
dissolution.
B- Les ions éthanoates réagissent avec les
ions oxonium de la solution acide.
C- Le pH augmente après la dissolution.
D- Le pH reste égal à 4,8.
CH3COOH initial
: 0,05 mol
CH3COOH +
H2O=CH3COO- +
H3O+ ; K =
[CH3COO-]éq[H3O+]éq
/ [CH3COOH]éq=
10-4,8 ;
si on ajoute 0,05 mol d'ion
CH3COO-, déplacement de
l'équilibre vers la gauche.
conservation de l'élément carbone :
[CH3COO-] +
[CH3COOH] = (0,05 +0,05) / 0,5 = 2
mol/L
solution électréquiment neutre :
[CH3COO-] +
[HO-] = [Na+] +
[H3O+]
[HO-] négligeable en milieu
acide ; [CH3COO-] voisin
[Na+] +
[H3O+] = 0,05 / 0,5
+[H3O+] = 0,1 +
[H3O+]
0,1 >> [H3O+]
d'où [CH3COO-]
voisin 0,1 et [CH3COOH] voisin 0,1
mol/L d'où pH fin proche de pKa =
4,8.
B, C
vrais
- On dose 400 mL d'une solution d'ammoniaque de
concentration inconnue par 100 mL d'une solution d'acide
chlorhydrique de concentration c= 0,1 mol/L. Ces
proportions correspondent à l'équivalence.
pKa (NH4+ /
NH3)=9,1.
A- La réaction de dosage peut être
considérée comme totale.
B- A l'équivalence 0,02 mol d'ammoniac ont
réagi.
C- Après avoir versé 50 mL d'acide le pH
vaut 4,5.
D- Le quotient initial de la réaction s'effectuant
dans le mélange précédent est
supérieur à la constante d'équilibre
de cette réaction.
NH3 +
H3O+ -->
NH4+ + H2O ; K =
[NH4+]/([H3O+]
[NH3])=1/ Ka = 109,1 ;
à l'équivalence : 0,1 * 0,1 = 0,01 mol
d'acide versé= 0,01 mol d'ammoniac ayant
réagi
|
NH3
|
H3O+
versé
|
NH4+
|
initial
|
n= 0,01 mol
|
0
|
0
|
en cours ( x= 0,005)
|
0,01 -x= 0,005 mol
|
x = 0,005 mol
|
0,005 mol
|
équivalence
|
0
|
0,01 mol
|
0,01 mol
|
après avoir versé 50 mL d'acide on se
trouve à la demi-équivalence et pH=pKa =
9,1
Qr,i =
[NH4+]i/([H3O+]i
[NH3]i) est
inférieure à K car la réaction
évolue dans le sens direct.
A
vrai
- On mélange une solution aqueuse de
peroxyde d'hydrogène avec une solution aqueuse
d'iodure de potassium Le peroxyde d'hydrogène du
couple H2O2/H2O oxyde
l'ion iodure du couple I-/I2 en
diiode, en milieu acide.Le diiode en solution
présente un maximum d'absorption à
lmax= 350 nm. A
cette longueur d'onde, le coefficient d'exctinction
molaire e= 2,5 105
mol-1 L cm-1. Dans une cuve d'un
spectrophotomètre, de 1 cm de large, on introduit
3 mL d'une solution d'iodure de potassium
acidifié, de concentration
[I-]=0,01 mol/L puis un volume V=0,5
mL d'une solution de peroxyde d'hydrogène de
concentration [H2O2] = 5
10-5 mol/L. On relève les valeurs de
l'absorbance A pour lmax=
350 nm et on trace la courbe des variations de
[I2] en fonction du
temps.
t(min)
|
0
|
1
|
3
|
5
|
8
|
10
|
15
|
20
|
30
|
A
|
0
|
0,401
|
0,945
|
1,29
|
1,52
|
1,63
|
1,72
|
1,77
|
1,78
|
A- La quantité maximale de diiode que l'on peut
obtenir est de 7,1 10-6 mol/L.
B- La quantité maximale de diiode est obtenue
à la date 30 min.
C- Le temps de demi-réaction est atteint au bout
de 30 min.
D- Le temps de demi-réaction est atteint au bout
de 15 min.
à t = 30 min la
réaction peut être considérée
comme presque terminée.
H2O2 + 2I-+
2H+ --> I2 +
2H2O
|
H2O2
|
+
2I-
|
I2
|
initial
|
5 10-4
* 5 10-5
= 2,5 10-8
mol
|
3 10-3
*0,01 = 3 10-5 mol
|
0
|
en
cours
|
2,5
10-8 -x
|
3 10-5
-2x
|
x
|
fin
|
2,5
10-8 -xm
xm=2,5
10-8 mol
|
3 10-5
-2xm = 0
excès
|
xm=2,5
10-8 mol
|
[I2]=2,5 10-8/ 3,5
10-3 = 7,1 10-6 mol/L
à t½ la moitié du réactif
limitant a disparu : [I2]= 3,6
10-6 mol/L et A =e
L [I2] = 2 105 *1*3,6
10-6 =0,71
soit t½ voisin de 3 min.
A, B
vrais
- suite du n°13.
A- La vitesse volumique de la réaction peut se
mettre sous la forme v=kA avec k une constante.
B- La vitesse volumique de la réaction est
proportionnelle à la dérivée de
l'absorbance par rapport au temps.
C- A la date t=0, la vitesse volumique de la
réaction et l'absorbance sont minimales.
D- A la date t = 30 min, la vitesse volumique de la
réaction est quasiment nulle.
v = 1/V dx/dt =
d[I2] /dt avec [I2]
=A/(e
L) soit v = 1/(e
L) dA/dt
à t = 0, le coefficient directeur de la tangente
à la courbe A=f(t) est le plus gand possible, donc
la vitesse initiale est maximale
à t >30 min, la tangente à la courbe est
presque horizontale, donc la vitesse est quasiment nulle
B, D
vrais
- L'hydrolyse basique des huiles
végétales :
A- permet d'obtenir du propan-1,2,3- triol.
B- libère de l'eau.
C- doit être réalisée à
chaud.
D- utilise uniquement des solutions aqueuses d'hydroxyde
de sodium.
libére un ion
carboxylate
soude ou potasse KOH
A, C
vrais
- Pour une transformation chimique non totale et
catalysable :
A- Le catalyseur augmente le taux d'avancement final.
B- Le catalyseur augmente le temps de
demi-réaction.
C- Le catalyseur modifie la constante de la
réaction.
D- Le catalyseur intervient sur la réaction
inverse.
Le catalyseur permet
d'atteindre plus rapidement l'équilibre sans
changer ce dernier
B, D
vrais
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