Extraction de l'acide chrysophanique concours technicien laboratoire 2007 En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de Cookies vous proposant des publicités adaptés à vos centres d’intérêts. |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||
.
. |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Le pictogramme de l'acétone permet de dire que ce produit est facilement inflammable. Quelle donnée du tableau concernant l'acétone permet de l'affirmer ? Les vapeurs d'acide acétiques sont irritantes et corrosives, que signifie dce dernier terme ? réponse : corrosive : substance qui corrode, qui ronge qui provoque la destruction progressive.
Vous avez à votre disposition toute la verrerie ( bécher, erlenmeyer, ampoule à décanter, ballon, éprouvette...) et les dispositifs de montage que l'on trouve dans un laboratoire de chimie. Quel(s) critère(s) faut-il prendre en compte pour choisir le solvant d'extraction ? réponse : Le solvant d'extraction ne doit pas être toxique : le benzène est déconseillé. " Acide chrysophanique : température de fusion 481°C; soluble dans l'eau, le benzène et l'acide acétique. Insoluble dans l'acétone." La substance à extraire doit être très soluble dans le solvant d'extraction : l'acide acétique convient ; l'acétone ne convient pas.
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||
réponse : Broyer la racine dans un mortier. Laisser macérer dans du vinaigre blanc puis filtrer Chauffer le filtrat jusqu’à évaporation totale des solvants. Ne pas dépasser 450°C. Un solide reste dans le ballon : l'acide chrysophanique (température de fusion 481°C ) Eliminer les vapeurs acides en les entraînant par la trompe à eau. Piéger l’acide par un « filtre antiacide » à base depoudre calcaire.
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|