théorème de l'énergie cinétique En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de Cookies vous proposant des publicités adaptées à vos centres d’intérêts. |
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Illustrer chaque choix (coché vrai ou faux) par un exemple :
corrigé Un système dont l'énergie mécanique est constante : - Ne peut pas être en mouvement : faux ; exemple : la chute libre - Peut être soumis à une force : vrai ; exemple : tir d'un projectile ( vitesse restant faible), chute libre - Peut être soumis à des frottements : faux : exemple : chute réelle ( frottement fluide), l'énergie mécanique diminue Un système qui reçoit de l'énergie - S'échauffe toujours: faux ; exemple : un changement d'état physique d'un corps pur s'effectue à température constante - Peut la restituer sous une autre forme : vrai ; machine thermique - Peut la garder : vrai ; exemple : excitation d'un atome par un photon ( l'atome peut rester excité pendant quelques dixiemes de seconde) La chaleur échangée - Se mesure à l'aide d'un thermomètre : faux ; un thermomètre repère une température - Ne peut pas être transférée sans contact : faux ; exemple : énergie rayonnée par le soleil - Peut s'exprimer en kW.h : vrai ; 1 kWh = 3600 kJ = 3,6 106 J.
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On se propose d'étudier l'évolution d'un mobile (M) de masse m= 500 g au cours du parcours proposé ci-dessous. Au départ le mobile se trouve en A. Il est laché sans vitesse initiale. Les forces de frottement sur l'arc de cercle AB, de rayon R=80 cm, sont considérées comme constantes, opposées à la vitesse et représentent r=25% du poids du mobile. g =9,8 m/s² ; q=45°
corrigé Vitesse du mobile en B :
f = r
mg DEc=
½ mVB², la vitesse initiale en A étant nulle ½ mVB² = mgR(1-cosq) -f R q = mgR(1-cosq) -r mg R q VB² = 2 gR(1-cosq-r q). VB²
= 2*9,8*0,8 ( 1-cos45-0,25*0,785) = 1,517 ; VB= 1,23 m/s.
Le vecteur vitesse étant toujours tangent à la trajectoire, est parallèle au plan incliné et dirigé vers le haut du plan ordonnée : VCy= VC sin a ; abscisse : VCx= VC cos a ; La variation d'énergie cinétique entre B et C est égale à la somme des travaux des forces ; seul le poids travaille car l'action du plan est perpendiculaire au plan travail résistant du poids ( ça monte) entre B et C : -mg L sin a. ½mVC²-½mVB²= -mg L sin a ; VC² = VB² -2g L sin a. remplacer VB² par : VB² = 2 gR(1-cosq-r q). VC²
= 2 gR(1-cosq-r q)-2g L sin a.
l'énergie cinétique est minimum si la vitesse est minimum : au sommet de la trajectoire parabolique, l'ordonnée de la vitesse est nulle et l'abscisse de la vitesse vaut VC cos a. La vitesse prend alors sa plus petite valeur. Energie cinétique minimum : ½mVC² cos² a. angle b d'écartement maximum du pendule simple : L'énergie cinétique finale en E est nulle pour l'angle b. DEc=
-Ec initiale en C=- ½mVC²cos²
a seul le poids travaille entre D et E ; la tension du fil , perpendiculaire à la vitesse ne travaille pas. travail du poids résistant ( ça monte) : -mgL'(1-cosb) th. de l'énergie cinétique : - ½mVC²cos²
a = -mgL'(1-cosb)
; VC² cos² a
= 2gL'(1-cosb)
; période propre T0 du pendule simple : T0 = 2p(L'/g)½. T0
= 2*3,14*(2/9,8)½ = 2,83 s.
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Un solide S considéré comme ponctuel de masse m= 0,690 kg se déplace sur un plan incliné faisant un angle a=20° avec le plan horizontal . Ce solide est relié à un axe placé sur le bord supérieur du plan incliné et normal à celui-ci par un fil inextensible de masse négligeable de longueur L= 0,5 m. g=9,8 m/s². Le solide est mis en mouvement depuis le point I avec une vitesse initiale v1. Au cours du mouvement le fil reste constamment tendu. Le mouvement du solide est étudié dans un repère lié à la terre et considéré comme galiléen.
corrigé La trajectoire du solide est un arc de cercle. Le solide est soumis à son poids, vertical vers le bas, à l'action du plan , normale au plan et à la tension du fil. La somme vectorielle de ces forces est différente de zéro : d'après le principe d'inertie le mouvement n'est pas uniforme. vitesse du mobile en F : variation d'énergie cinétique entre O et F : DEc= ½mvF²-½mv0². l'action du plan et la tension du fil, perpendiculaire à la vitesse, ne travaillent pas. travail du poids résistant ( ça monte )de O en F : -mgL sin a. écrire le théorème de l'énergie cinétique : ½mvF²-½mv0² = -mgL sin a. vF²= v0²-2gL sin a. vF² = 4-2*9,8*0,5*sin20 = 0,648 ; vF=
0,805 m/s.
travail des frottements, colinéaire à la vitesse, mais de sens contraire, de valeur f constante, entre O et F : valeur de f * longueur de l'arc AB *cos180 = -f Lp/2 la différence entre l'énergie cinétique calculée et l'énergie cinétique réelle en F est égale au travail des frottements -f Lp/2 = ½mv²F réelle-½mv²F calcul. f = m(v²F
calcul-v²F réelle)/(Lp)= 0,69(0,805²-0,5²)/(0,5*3,14)=0,175 N.
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Un skieur, de masse M= 85 kg, s'élance sur un tremplin dont la piste, de longueur 150m, est située entre l'altitude 1638 à 1538m. Ce tremplin se termine par une partie horizontale.
travail résistant des frottements ( colinéaire à la vitesse, sens contraire, valeur constante : -f * distance parcourue = -350*150 = -52500 J total des travaux : 83300-52500 = 30 800 J théorème de l'énergie cinétique : (vitesse initiale nulle) DEc= ½Mv²-0 = ½Mv² la variation de l'énergie cinétique est égale à la somme des travaux des forces ½Mv² = 30800 ; v²= 2*30800/85 = 724,7 ; v= 26,9 m/s.
suivant un axe vertical descendant le mouvement du sauteur est une chute libre y=½gt² t= x/v puis repport dans y : y = ½gx²/v² = 0,5*9,8 / 26,9² x² = 6,77 10-3 x² équation de la droite de réception inclinée de 45° ( pente, coefficient directeur = - tan 45 = - 1) cette droite passe en A, 6,5 m sous le point O d'où y = - x + 6,5 résoudre l'équation 6,77 10-3 x² = -x+6,5 6,77 10-3 x² + x-6,5 =0 D= 1²-4*6,5*6,77 10-3 = 1,176 ; x= (-1+ rac carrée (1,176))/ (2*6,77 10-3)= 6,24 m abscisse du point B= 6,24 m ; puis AB² = OA² + xB²
= 6,5² + 6,24²= 81,18 ; AB= 9
m .
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Une voiture de masse M=800 kg, lancéeà la vitesse de valeur v=108 km.h-1 aborde, moteur coupé, une côte rectiligne de pente 5 % (la route s’élève de 5 m pour un parcours de 100 m sur la route).
corrigé pente p = sin a = 5/100 = 0,05 pas de frottement : en montée le travail du poids est résistant : WP(A-->B) = -mg AB sin a. RN, perpendiculaire à la vitesse ne travaille pas. énergie cinétique initiale : ½mv² avec v = 108/3,6 = 30 m/s la vitesse finale étant nulle, l'énergie cinétique finale est nulle et la variation d'énergie cinétique vaut DEc= 0-½mv² = -½mv². Le théorème de l'énergie cinétique s'écrit alors : -½mv² =-mg AB sin a. ½v² = g AB sin a soit AB = 0,5 v² / (gsin a ) = 0,5*30²/(9,8*0,05) = 918 m. avec frottement : travail résistant des frottement WF(A--> B) = -F AB la variation d'énergie cinétique est égale à la somme des travaux des forces : -½mv² = -F AB -mg AB sin a. AB = 0,5 mv² /
(F+mgsin a) = 0,5*800 *30² / (150+800*9,8*0,05)= 664 m.
pas de frottement : en descente le travail du poids est moteur : WP(A-->B) = + mg AB sin a. RN, perpendiculaire à la vitesse ne travaille pas. énergie cinétique initiale nulle ; énergie cinétique finale : ½mv² la variation d'énergie cinétique vaut DEc= ½mv²-0 = ½mv². Le théorème de l'énergie cinétique s'écrit alors : ½mv² = mg AB sin a. v² = 2g AB sin a = 2*9,8*1000*0,05 = 980 ; v = 31,3 m/s. avec frottement : travail résistant des frottement WF(A--> B) = -F AB la variation d'énergie cinétique est égale à la somme des travaux des forces : ½mv² = -F AB +mg AB sin a. v² = 2 AB( - F/m + gsin a) = 2000*(-150/800+9,8*0,05)= 605 ; v = 24,6 m/s. |
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Un solide S lancé a une vitesse de valeur v0=3,0 m/s de la position A où son centre d' inertie est à la hauteur h=30 cm au dessu du sol. Il n y a pas de frotement.
corrigé énergie cinétique : Ec = ½mv² énergie potentielle de pesanteur Ep= mgh L'énergie mécanique en A est sous forme d'énergie potentielle et sous forme d'énergie cinétique ; l'énergie mécanique en B est sous forme d'énergie cinétique.( On prend l'altitude de B comme origine des altitudes) Sur le parcours AB l'énergie potentielle diminue et l'énergie cinétique augmente. L'énergie mécanique se conserve, car seul le poids travaille : ½mvB² = mgh +½mv0² ou encore ½vB² = ½v0² +gh soit vB = racine carrée ( v0² + 2gh) avec h = 0,3 m et v0= 3m/s vB = (9+2*9,8*0,3)½ = 3,86 m/s. Entre B et C le
solide est soumis à son poids et à l'action du plan, perpendiculaire au
plan. Ces forces, perpendiculaires à la vitesse ne travaillent pas et
en conséquence l'énergie cinétique ne varie pas. La valeur de la
vitesse est constante. d'après le principe d'inertie, le solide est
animé d'un mouvement rectiligne uniforme.
En D ( arrêt) l'énergie mécanique est sous forme d'énegie potentielle de pesanteur : mg hC. L'énergie cinétique initiale se transforme en énegie potentielle. L'énergie mécanique se conserve car seul le poids travaille : ½mvB²= mg hC avec hC= CD sinb. ½vB²= gCD sinb soit CD= ½vB²/( g sinb ) CD= 0,5*3,86² / (9,8 sin 20)= 2,22 m. |
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