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LCu" + (R+r)C u' + u = 0. équation différentielle du circuit. si les résistances sont négligeables : LCu" + u = 0 soit u" + 1/(LC) u = 0 on pose w0² = 1/ (LC) ; w0 : pulsation en rad /s. tension aux bornes du condensateur échange d'énergie entre bobine et condensateur. régime pseudopériodique ( r croît) régime apériodique (r grand)
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corrigé charge q0 = CU0 = 10-7*10 = 10-6 C. q/C + Ldi/dt = 0 avec i= dq/dt soit di/dt = d²q/dt² = q" q/C+Lq"=0 ou bien q" + 1/(LC)q=0 on pose w²0= 1/(LC) d'où T0= 2p/ w0 = 2p (LC)½ . w0 = 1/(LC)½ =1/(1*10-7)½= 3200 rad/s. période T0= 2*3,14 / 3200 = 2 10-3s. les solutions de l'équation différentielle sont de la forme q(t) = QM cos(w0 t+j) à l'instant initial, le condensateur est chargé : QM= CU0. QM= QMcos(j) donne j =0 q(t) = CU0 cos(w0 t). dériver par rapport au temps pour obtenir l'intensité i = CU0 (-w0 ) sin(w0 t) tension aux bornes du condensateur : u(t)= q(t) / C = U0 cos(w0 t). 8 cm de large correspondent à 8*0,5 = 4 ms soit deux périodes.
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Un générateur de courant constant délivre un courant d'intensité i0 = 200 mA en étant connectées à l'ensemble d'une bobine et d'un condensateur reliés en parallèle (voir schéma). La bobine dont le coefficient d'inductance vaut L = 200 mH possède une résistance nulle. La capacité du condensateur est C= 200 nF. A l'instant t = 0 considéré comme origine des temps, on ouvre l'interrupteur K.
en conséquence la tension aux bornes de la bobine u=Ldi0/dt est nulle. bobine et condensateur sont en dérivation, donc la tension aux bornes du condensateur est nulle et le condensateur ne se charge pas. Par contre la bobine stocke l'énergie ½Li0² =0,5*0,2*0,2² = 4 10-3 J. donc à t=0 : intensité dans la bobine : i0 tension aux bornes du condensateur uAB=0.
charge q et tension aux bornes du condensateur sont proportionnelles : q=Cu d'où u"+ 1/(LC) u=0. on pose w0²= 1/(LC) = 1/(0,2*20010-9)= 108/4 soit w0= 5000 rad/s période T= 2 p/ w0=
2*3,14/5000 =1,256 ms.
charge q(t) = Cu(t) = CA sin (w0t + j ). dériver par rapport au temps pour obtenir l'intensité : i = CAw0cos (w0t + j ). à t=0 l'intensité vaut i0 dans la bobine : i0 = CAw0cos ( j ). i0, CAw0étant positifs on élimine la valeur j=p. A= i0 /( Cw0)= umax = 0,2/(200 10-9 *5000)=1000*0,2 = 200 V. i(t) =0,2 cos(w0t
)
échange permanent d'énergie entre bobine et condensateur : le condensateur stocke au plu s : 4 10-3 = ½Cu²max soit u²max= 8 10-3 /C = 8 10-3 / 2 10-7 =4 104 ; umax = 200 V.
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On néglige la résistance interne de la bobine. Initialement l’interrupteur est en position 1 depuis un temps très long. A t = 0, on bascule l’interrupteur de la position 1 vers la position 2. Dans tout l’exercice, on considérera que l’interrupteur a déjà basculé.
or q= Cuc ; i = dq/dt = Cduc/dt ; di
/dt= d²q/dt² = Cd²uc/dt ² = Cu"c équation différentielle à laquelle obéit uc : uc + LCu"c = 0 ou bien u"c + 1/(LC) uc=0 expression de la fréquence propre en Hz : f= 1/(2p(LC)½)= 1/(6,28 (10-5)½=50,3 Hz. expression littérale du courant i en fonction du temps : uc= U0 cos ( 2pf t+j) i = Cduc/dt = -CU02pf
sin ( 2pf t+j) Analyse de la courbe uc(t) : ce modèle ne convient pas : il implique la présence de résistor dans le dipole (LC), responsable de l'amortissement.
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On se propose d'étudier un capteur d'humidité. Etude du montage électrique : Un condensateur C est chargé à travers une résistance R0 = 100 W.En basculant l'interrupteur on décharge le condensateur dans une bobine (L= 100 mH, r) en série avec une résistance R.
Etude du capteur d'humidité : Un capteur d'humidité comporte en particulier un condensateur dont la capacité C augmente lorsque le taux d'humidité t augmente suivant la relation : C= (0,4 t + 104,8) pF avec t en %. Ce capteur était inséré dans le circuit précédent. Quel est le taux d'humidité ? corrigé 2 p est sans dimension ; L inductance : E=½LI² soit L= 2 E / I² : énergie (joule ) / intensité ² (Ampère) ² ; J A-2. Or énergie (J) = tension (V) * intensité (A) * durée (s) d'où L : V A-1 s. C capacité : E=½CU² soit C = 2 E /u² : énergie / tension² soit V-1A s LC : s² donc racine carré (LC) en seconde. RT résistance (ohms) = tension (V) / intensité (A) soit V A-1. RT/L s'exprime en seconde.
1/(LC) = 4 p ²/ T1² + R²T/(4L²) ; 1/C= 4 p ²L/ T1² + R²T/(4L) C= [4 p ²L/ T1² + R²T/(4L)]-1. si RT=0 alors C= T1² / (4 p ²L) la capacité est fonction
linéaire de T1²
graphe 2 : la condition RT=0 est vérifiée car la tension uC n'est pas amortie ( l'amplitude reste constante) ; le montage avec amplificateur opérationnel compense à chaque instant les pertes d'énergie dans les résistances. 8 périodes correspondent à 180 ms soit T1 = 22,5 m s = 22,5 10-6 s. C=T1² / (4 p ²L) = (22,5 10-6)² / (4*3,14²*0,1)= 1,28 10-10 = 128 pF. C= 0,4 t+104,8 donne t = (C-104,8) / 0,4 =(128-104,8)/0,4 = 58%. |
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