Question 1
Soit (u
n) une suite géométrique de raison 2 telle que u
2 = 1.
Alors
a.
u7 = 32
vrai; b. u
7 = 64;
c. u
7 = 128
; d. u
7 = 16
; e. rien de ce qui précède.
u
2 = 2 u
1 ; u
1 =0,5 ;
u1 = 2 u0 ; u0 =0,25 ; u7 = 27 u0=32.
Question 2
Soient A et B deux événements d’un univers
W de probabilité non nulle. Alors P
A(B) est égale à
:
a.
P(A ∩ B)/
P(B)
;
b. P(A ∩ B)
/ P(A) vrai
; c. P(A ∩ B) si A et B sont indépendants
; d. P(A) si A et B sont indépendants
;
e. rien de ce qui précède.
Question 3 La limite en plus l'infini de
(3x
2 + x − 2
) / (x
2 − e
x + 1) est égale à
:
a. 0 vrai ;
b. +∞
; c. 3;
d. −2
; e. 1.
(x
2(3+1/x-2/x
2)] / [x
2(1-e
x/x
2+1/x
2) ] =
(3+1/x-2/x2) / (1-ex/x2+1/x2).
En plus l'infini : 1/x, 1/x2 tendent vers zéro; -ex/x2 tend vers moins l'infini 3 / (-ex/x2 ) tend vers zéro.
Question 4
Parmi les fonctions suivantes, laquelle est une solution de l’équation différentielle 2y′ − y = x − 1 :
a. e
2x − x − 1
; b. x − 1
; c. 1 − x
; d. e
2x ;
e. rien de ce qui précède vrai.
Solution générale de 2y'-y=0 : y = Ae
0,5x avec A une constante.
Solution particulière : y = -x-1.
Solution générale y =
Ae0,5x -x-1.
Question 5 Soit f (x)= (x
2-x+2)
½. Alors le domaine de définition de f est:
a. R vrai
; b. [−1, 2]
; c. ]−∞, −1] ∪ [2, +∞[
; d. ∅
; e. rien de ce qui précède.
x2-x+2 > 0 ; D = (-1)2-4*2 = -7 < 0, aucune racine réelle.
Question 6 Soit f (x) =ln
9(x). Alors pour tout x > 0 , f ′
(x) est égale à
:
a. 9 ln
8(x)
; b. 1/
x
9 ;
c.
9
/x
8;
d. 9 ln(x)
;
e. rien de ce qui précède vrai.
On pose u = ln(x) ; dérivée de u
9 =9 u' u
8=9ln
8(x) / x.
Question 7
Soit F une primitive d’une fonction f continue sur [−1, 1]. Alors
a. f ′ = F
;
b. F′ = f
vrai ; c. F(−1) = f(−1) et F(1) = f(1)
d. F(−1) = F(1) = 0
; e. rien de ce qui précède.
Question 8
Dans une jeu de 32 cartes, on tire une main de 6 cartes (on rappelle que dans une main, l’ordre des cartes
ne compte pas). Alors le nombre de mains possibles est
a. 6
32;
b. 32
6;
c. (32 6) vrai ;
d. 32!
/ 6!
e. rien de ce qui précède.
Question 9
Soit (u
n) une suite réelle. Alors
a. si (u
n) est décroissante et minorée, (u
n) converge
vrai
b. si (u
n) est bornée, (u
n) converge
c. si (u
n) est croissante et majorée, (u
n) converge
vrai ;
d. si (u
n) est croissante et non majorée, (u
n) diverge
vrai ;
e. rien de ce qui précède.
Question 10
Dans un repère orthonormé de l’espace, on considère la droite d passant par A(2, −1, 1) et de vecteur
directeur u(1 ;
2
;−5 )
. Alors
a. B(0, −2, 1) ∈ d
; b. B(0, 1, −2) ∈ d
;
c. B(3, 1, −4) ∈ d
vrai ; d. B(1, −3, −6) ∈ d
; e. rien de ce qui précède.
Equation paramétrique de d : x = t+2 ; y = 2t-1 ; z = -5t+1 avec t réel.
xB = t+2=0 ; t= -2 ; alors yB = -4-1 = -5. B(0, −2, 1) n'appartient pas à d.
xB = t+2=3 ; t= 1 ; alors yB = 2-1 =1 et zB =-5+1=-4 ; B(3, 1, −4) appartient à d.
xB = t+2=1 ; t= -1 ; alors yB = -2-1 =-3 et zB =5+1=6 ; B(1, -3, −6) n'appartient pas à d.
Question 11 Une primitive de la fonction f(x)= ln(x) sur ]0 ; +oo[ est
a. F(x)= x ln(x) − x
vrai ; b. F(x)=1/
x
; c.F(x)= e
x
; d. F(x)= ln(x)
; e. F(x)=
1/
ln(x).
on dérive F(x)=x ln(x) − x.
On pose u = x, v = ln(x) ; u' = 1 ; v' = 1/x.
u'v+v'u =ln(x)+1 ; F '(x) = ln(x) +1-1=ln(x).
Question 12
Soit f(x)= (x
2+x-20)
½ ln(1-x
2)
. Alors le domaine de définition de f est
a. ]−1, 1[ ; b. ]−∞, −5] ∪ [4, +∞[ ;
c. ∅ vrai;
d. ]−5, 4[
; e. rien de ce qui précède
.
1-x2> 0 ; x doit appartenir à ]-1 ; +1[.
x2+x-20 > 0 ; D =12+80=81=92.
Solutions x =(-1 ±9) / 2 soit 4 et -5.
x doit appartenir à ]−∞, −5] ∪ [4, +∞[ .
Question 13 La limite en moins l'infini de
(x
2 + x − 7) / (
1 − x)
est égale à
a. −∞
; b. 1
; c. −1;
d. +∞
vrai ; e. rien de ce qui précède
x(x+1-7/x) / (x(1/x-1)]= (x+1-7/x) / ((1/x-1).
En moins l'infini : -7/x et 1/x tendent vers zéro.
Question 14
Dans un repère orthonormé de l’espace, on considère les points A(1, −1, 2) et B(2, 1, −1). Alors une équation
cartésienne du plan P orthogonal à la droite (AB) passant par C(3, 3, −4) est
:
a. x + 2y − 3z + 21 = 0
; b. x + 2y − 3z + 15 = 0
; c. x + 2y − 3z − 15 = 0
; d. x + 2y − 3z − 1=0
;
e. rien de ce qui précède
Coordonnées du vecteur AB: (1 ; 2 ; -3), vecteur orthogonal au plan P.
Equation cartésienne de ce plan P : x+2y-3z+d=0.
C (3 ; 3 ; -4) appartient à P : 3+6+12+d=0 ; d = -21.
Question 15
Parmi les fonctions suivantes, laquelle est une solution de l’équation différentielle 3y′ − y = 2 − x :
a. f(x)= e
x/3 + x + 1
vrai ; b. f(x)= 2 − x
; c. f(x)=−1 − x
; d. f(x)= e
3x
; e. rien de ce qui précède.
Solution générale de 3y'-y =0 : y = A e
x/3 avec A une constante.
Solution particulière de
3y′ − y = 2 − x :
y = ax +b ; y' = a ; 3a-ax-b=2-x ; on identifie a = 1 ; b=1.
Solution générale : y = Aex/3 +x+1.
Question 16
Soit f(x)=
exp(x
2)/
x
. Alors pour tout x ∈ R∗, f ′
(x) est égale à
a. (2x − 1)exp(x
2) /
x
2
; b.
exp(x2) ;
c. (x − 1)
exp(x2) /
x2
;
d. (2x2 − 1)exp(x2) /
x2
vrai e. rien de ce qui précède.
On pose u = exp(x
2); v = x ; u' =2x exp(x
2) , v' = 1.
(u'v-v'u) / v
2 =(
2x2 exp(x2)-exp(x2)) / x2 =(2x2 − 1)exp(x2) /
x2.
Question 17
Le nombre de façons de prélever simultanément 2 cartes parmi 4 est :
a. 8
;
b. 6
vrai ; c. 12
; d. 16
; e. rien de ce qui précède.
(
42)=4 x3 /2=6.
Question 18
Dans un repère orthonormé de l’espace, on considère le point A(2, −1, 1) et le vecteur u( 1;
2
;−5 )
. Alors une
représentation paramétrique de la droite d passant par A et de vecteur directeur u est
:
x = t+x
A = t+2 ;
y = 2t+yA =2 t-1 ; z = -5t+zA = -5t+1 avec t réel. Réponse a.
a.
x =2+ k
y = −1+2k
z = 1 − 5k
; k ∈ R
b.
x =1+2k
y = 2 − k
z = −5 + k
; k ∈ R
c.
x = −2 + k
y =1+2k
z = −1 − 5k
; k ∈ R
d.
x = 2 − k
y = −1 − 2k
z =1+5k
; k ∈ R
e. rien de ce qui précède.
Question 19
Soient (u
n) et (v
n) deux suites réelles quelconques. Alors
a.
(u
n) converge et (v
n) converge entraîne (u
n + v
n) converge.
Vrai.
b.
(u
n) diverge et (v
n) diverge entraîne (u
n + v
n) diverge.
(
on ne peut rien dire)
c.
(un) converge et (vn) diverge entraîne (un + vn) diverge.
Vrai.
.
d.
(un) diverge et (vn) converge entraîne (un + vn) converge.
e. rien de ce qui précède
Question 20.
En plus l'infini, la limite de (2x
2+x+1) / (1-x+5x
2) est égale à :
a. 0
; b. +∞
; c. 2
; d. 1
;
e. rien de ce qui précède. Vrai.
x
2[2+1/x+1/x
2] / [x
2(1/x
2-1/x+5)]=
[2+1/x+1/x2] / [1/x2-1/x+5].
1/x et 1/x2 tendent vers zéro. La limite vaut 2 /5.
Question 21
Soit f(x)=(e
x+x)
5. Alors, pour tout x ∈ R, f ′
(x) est égale à
a. 5(e
x+x)
4 ;
b.
5(ex+1)4 ;
c. 5(ex+x)4 (ex+1) vrai ; d 5(ln(x)+1)4 ; e : rien de ce qui précède.
On pose u = ex+x ; u' = ex+1.
dérivée de u5 : 5u' u4 =5(ex+1)(ex+x)4.
Question 22
Une primitive de f(x)=
1
/ ln(x) sur ]1, +∞[ est
a. F(x)= ln(
ln(x))
b.F(x)= ½
ln
2(x)
; c.F(x)=
x
/ ln(x)
; d. F(x)= ln(x)
/ x
e. rien de ce qui précède vrai .
On dérive :
a. u = ln(x) ; u' = 1 /x ; dérivée de ln(u) = u' /u =1/(x ln(x)).
b. u = ln(x) ; u' = 1 /x ; dérivée de ½u
2=u' u =ln(x) / x.
c. u=x ; v = ln(x) ; u'=1 ; v' = 1/x ; (u'v-v'u) / v
2 =(ln(x)-1) / (ln(x)
2).
d. u =ln(x) ; v = x ; u'=1/x ; v' = 1 ; ( u'v-v'u) /v
2 =(1-ln(x)) /x
2.
Question 23
Soit f(x)= ln
(−x
2 + x − 2)
. Alors le domaine de définition de f est
a. [−1, 2]
; b. R∗
+
; c. ]−∞, −1] ∪ [2, +∞[
;
d. ∅
vrai; e. rien de qui précède.
−x2 + x − 2 doit être positif.
Solutions de −x2 + x − 2 =0 ; D = 12 -8=-7, aucune solution réelle.
−x2 + x − 2 < 0.
Question 24
Le nombre de façons de ranger 3 objets distincts dans 5 tiroirs sachant qu’un tiroir ne peut contenir qu’un
seul objet est
a. 15
;
b. 60
vrai ; c. 120
; d. 125
; e. rien de ce qui précède.
p! /(p-n)! =5 x4x3x2 / 2=60.
Question 25
Soit (u
n) une suite géométrique de raison q différent de 1. Alors u
1 + u
2 + ··· + u
n est égale à
a. u
1
(1 − q
n−1
) / (1 − q) ;
b.
u1
(1 − qn−2
) / (1 − q) ;
c. u1
(1 − qn−3
) / (1 − q) ;
d. u1
(1 − qn
) / (1 − q) vrai ;
e. rien de ce qui précède
Question 26
Dans un repère orthonormé de l’espace, on considère les points A(1, −1, 2) et B(2, 1, −1). Alors une équation
paramétrique de la droite (AB) est
:
Coordonnées du vecteur AB: ( 1 ; 2 ; -3).Equation paramétrique de cette droite :
x = k+x
A=k+1 ;
y = 2k+yA=2k-1 ; z = -3k+zA= -3k+2 avec k réel. Réponse B.
Question 27. Soient A et B deux événements indépendants quelconques. Alors
a. P(A ∪ B) = P(A) + P(B) ;
b. P(A ∪ B) = P(A)P(B)
; c. P(A ∩ B) = P(A) + P(B)
;
d. P(A ∩ B) = P(A)P(B)
vrai ;
e. rien de ce qui précède
Question 28
Soit f(x)= sin(x) cos(x). Alors une primitive de f sur R est
a. F(x)= ½
cos
2(x)
;
b. F(x) =½
sin2(x)
Vrai ; c. F(x)= cos(
sin(x))
; d. -½sin
2(x) ;
e. rien de ce qui précède.
f(x) = ½sin(2x) ; F(x) = -0,25 cos(2x)= -0,25(cos
2(x) -sin
2(x)) =-0,25(1-2sin
2(x) = ½sin
2(x) -0,25.
On dérive
½
cos2(x) en posant u = cos(x) ; u' = -sin(x).
dérivée de ½u2 =u u'= -cos(x) sin(x).
Réponse F(x)= -½
cos2(x).
Question 29 La limite en moins l'infini de
2xe
−x est égale à
a. −∞
vrai ; b. +∞ ;
c. 0
; d. 1
; e. rien de ce qui précède.
e
-x tend vers plus l'infini ; x tend vers moins l'infini ;par produit des limites
2xe−x tend vers moins l'infini.
Question 30
Soient A et B deux événements incompatibles quelconques. Alors
a. P(A ∪ B) = P(A)P(B)
;
b. P(A ∪ B) = P(A) + P(B)
vrai; c. P(A ∩ B) = P(A) + P(B)
; d. P(A ∩ B) = P(A)P(B)