Biologie, concours Technicien Police Technique et Scientifique 20222 ( zone Ouest).

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de Cookies vous proposant des publicités adaptées à vos centres d’intérêts.

.
. . .

.
.
.. ..
......


...
Question 19 : Le cycle cellulaire décrit les étapes de la vie d’une cellule entre 2 divisions successives : il est
constitué de 4 phases successives qui sont dans l’ordre chronologique
A. S-G1-G2-M
B. G1-G2-S-M
C. G1-S-G2-M vrai
D. G1-M-G2-S

Question 20-La duplication de l’ADN se produit au cours de la phase:
A. S  vrai
B. M
C. G2
D. G1


Question 21- Les cellules appartenant à une population clonale :
A. Forment des tissus et ne peuvent donc se trouver que dans des organismes pluricellulaires
B. Les cellules peuvent provenir de cellules différentes mais elles ont toutes la même fonction
C. Les cellules sont toujours identiques d’un point de vue génétique
D. Les cellules sont toujours issues d’une seule et unique cellule. Vrai.

Question 22-La transmission des caractères chez la drosophile :
On réalise un croisement de drosophiles de lignées pures (1) puis un croisement test (2).

Les résultats de l’expérience ci-dessus et les pourcentages de phénotypes obtenus mettent en évidence:
A. Un brassage interchromosomique uniquement Faux ( les 4 gamètes ne sont pas équiprobables)
B. Un crossing-over inégal
C. Un brassage intrachromosomique uniquement vrai( 2 phénotypes sont sur-représentés et deux autres sous-représentés)
D. Un brassage intrachromosomique puis interchromosomique
Le brassage interchromosomique brasse les allèles des gènes situés sur des paires de chromosomes différents. Ce brassage conduit à 4 gamètes équiprobables au contenu allénique diférent.

Question 23-La duplication d’un gène :
A. Est le résultat d’un brassage interchromosomique
B. Est le résultat d’un processus normal de la méiose qui produit la diversité génétique. Vrai.
C. Est le résultat d’une répartition anormale des chromosomes au cours de la méiose
D. Est le résultat d’un crossing-over inégal


Question 24- La chromatine :
A. Est décondensée pendant l’interphase ( eurochromatine : chromatine qui apparaît  décondensée pendant l'interphase) vrai
B. Est décondensée pendant la mitose
C. Est condensée pendant l’interphase
D. Est condensée pendant la phase G2.
Le cycle cellulaire comprend 4 phases G1, S, G2 ( interphase) et M, mitose, apparition de la forme condensée de la chromatine.

25-Les acides nucléiques constituant la molécule d’ADN sont une association:
A. D’une base phosphate, d’un sucre et d’un groupe azoté
B. D’une base azotée, d'un sucre et d'un groupe sulfaté
C. D’une base phosphate, de glucose et d’un groupe azoté
D. D’une base azotée, d'un sucre et d'un groupe phosphaté. Vrai

26-Concernant l’association des nucléotides :
A. A s’associe toujours avec G
B. T s’associe toujours avec A. Vrai
C. G s’associe toujours avec T
D. C s’associe toujours avec C

27-La transcription correspond :
A. A la copie de l’ADN.
Vrai ( copie du matériel génétique (ADN ou ARN) en ARN).
B. A la synthèse d’ARN pré-messager.
C. A la synthèse de protéines
D. A la synthèse des ribosomes

28-Cette transcription est réalisée :
A. Par l’ARN polymérase vrai
B. Par l’ADN polymérase
C. Par les ribosomes
D. Par l’ARN messager

29-Le code génétique est univoque, cela signifie :
A. qu’il est commun à tous les êtres vivants
B. qu’un même acide animé peut être codé par plusieurs codons
C. que plusieurs codons peuvent codés pour un même acide animé
D. que chaque codon ne correspond qu’à un seul acide aminé. Vrai

30- La traduction commence :
A. Par l’épissage qui est la perte de certaines parties de l’ARNm
B. Par l’initiation qui est le positionnement du ribosome à l’extrémité de l’ARNm
C. Par l’assemblage du ribosome sur un codon STOP
D. Par le positionnement du ribosome sur un codon initiateur. Vrai.

31- Une mutation ponctuelle :
A. Peut être liée à une erreur de synthèse lors de la réplication de l’ADN. Vrai
B. N’est jamais transmise à la descendance ( les mutations germinales sont transmissibles).
C. Est toujours liée à un agent mutagène ( leur fréquence augmente en présence d'agents mutagènes).
D. Est toujours à l’origine de diversité génétique ( la diversité génétique est liée à la variabilité de chaque gène au sein d'une même espèce)


32-D’après la séquence ADN ci-dessus, il s’agit d’une mutation :

A. Par insertion
B. Par délétion. Vrai
C. Par inversion
D. Par substitution

33-Les techniques de PCR (Polymerase Chain Reaction) permettent :
A. D’augmenter le nombre de cycles de transcription d’une protéine
B. De produire un grand nombre d’ARNm. Vrai (Elle permet de multiplier par un milliard une séquence d'ADN ou d'ARN connue  à partir d'une faible quantité, quelques picogrammes, d'acide nucléique)
C. De cloner des molécules d’ADN
D. De connaître la séquence d’un gène

34-Le caryotype d’une cellule somatique humaine est égal à :
A. n= 23 chromosomes
B. 2n= 46 chromosomes vrai
C. 2n= 46 chromosomes + 1 paire de chromosomes sexuels
D. n= 23 chromosomes + 1 paire de chromosomes sexuels

35-Le caryotype d’une cellule est :
A. Identique entre un homme et une femme. L'homme possède un chromosome Y et un chromosome X alors que la femme posède 2 chromosomes X.
B. Différent entre un homme et un chimpanzé Vrai  un caryotype est caractéristique d'une espèce.
C. Différent entre 2 femmes non génétiquement liées
D. Identique entre un homme sain et un homme trisomique

...
....

36 Concernant la notion de gène et d’allèle :
A. Un gène peut présenter plusieurs allèles.Vrai
B. Un gène est constitué de plusieurs allèles
C. Un gène est une version possible d’un allèle
D. Un allèle peut présenter plusieurs gènes.
Un gène est une séquence d'ADN ; On appelle allèles les différentes versions d'un même gène.

37-
Concernant l’information génétique d’un individu :
A. L’ensemble des gènes d’un organisme est le génome. Vrai. Tous les organismes d'une même espèce ont le même génome.
B. L’ensemble des gènes d’un organisme est le génotype
C. L’ensemble des caractères d’un individu est le génome
D. Les différents allèles possibles d’un gène est le génotype.Le génotype correpond à tous les allèles présents dans un organisme. Chaque individu a un génotype unique.

38-Lors d’une maladie monogénique à transmission récessive :
A. Les hétérozygotes sont atteints.
B. Seuls les homozygotes pour l’allèle muté sont atteints. Vrai
C. Seuls les hommes sont atteints
D. La maladie est forcément présente à toutes les générations

39– Arbre généalogique d’une famille atteinte d’une maladie monosomique :

D’après l’arbre généalogique ci-dessus, la transmission de cette maladie est de type :
A. Autosomique récessif
B. Autosomique dominant
C. Gonosomique récessif
D. Forcément gonosomique dominant. vrai
Chaque fois qu'un homme est malade, seules ses filles sont malades. Allèle X transmis par le père.

40 – Schéma de l’appareil reproducteur masculin.

La flèche sur le schéma de l’appareil reproducteur masculin désigne :
A. La prostate
B. Une vésicule séminale vrai
C. L’épididyme
D. L’urètre

41 –
Chez l’homme, la testostérone est produite par :
A. Les cellules de Leydig. Vrai
B. Les cellules de l’hypophyse
C. Les cellules de Sertoli
D. Les cellules de l’hypothalamus

42 – Le développement du follicule à l’origine du futur ovocyte est la conséquence chez la femme de la sécrétion :
A. De LH Vrai
B. De FSH
C. De progestérone
D. D’oestrogènes
La secrétion d'oestrogènes augmente fortement entrainant un pic de LH.

43 – Concernant la notion d’haploïdie et de diploïdie, chez l’Homme :
A. Lors de la mitose on obtient deux cellules haploïdes
B. Lors de la méiose on obtient quatre cellules diploïdes
C. Seule la cellule-oeuf est diploïde
D. Lors de la fécondation deux cellules haploïdes fusionnent pour donner une cellule diploïde. Vrai.

44 – Concernant le soi et le non-soi :
A. Le soi d’un individu est l’ensemble des molécules qui le différencient d’un autre individu
B. Le soi d’un individu est l’ensemble des molécules résultant de l’expression de son génome. Vrai
C. Les anticorps produits qui sont spécifiques du non-soi sont éliminés lors de leur maturation
D. Seuls les anticorps spécifiques du non-soi sont produits dans la moelle osseuse

45–Les organes lymphoïdes secondaires sont :
A. La moelle osseuse et le thymus  organes lymphoïdes primaires.
B. Le thymus et la rate
C. Les ganglions, la rate et les tissus lymphoïdes associés aux muqueuses Vrai
D. Les tissus lymphoïdes associés aux muqueuses et le thymus


46 – Lequel de ces leucocytes ne présentent pas à leur surface de récepteurs PRR (Pattern Recognition Receptor) capables de reconnaître des motifs PAMP (Pathogen Associated Molecular Pattern) conservés à la surface des micro-organismes :
A. Les macrophages
B. Les lymphocytes B et T vrai
C. Les cellules dendritiques
D. Les mastocytes

47 –Les interleukines sont :
A. L’autre nom donné aux anticorps
B. Des cellules de l’immunité innée
C. Des substances chimiques libérées notamment par certains lymphocytes T. Vrai
D. Les molécules du non-soi

48 – Cette cellule du système immunitaire sur la photo ci-dessus avec ces nombreux prolongements est :
A. Un lymphocyte T
B. Un lymphocyte B
C. Une cellule dendritique vrai
D. Un monocyte

49. La photographie ci-dessus montre :
A. La stimulation d’un lymphocyte T
B. Une phagocytose facilitée
C. L’activation d’un lymphocyte par une cellule présentatrice d’antigène
D. La destruction d’une cellule infectée par un lymphocyte T. Vrai.

50. Le schéma ci-dessus représente :
A. Une étape de la réaction immunitaire innée vrai
B. Une étape de l’élimination des antigènes libres
C. Une étape commune à la réaction immunitaire adaptative et innée
D. Une étape de la réaction inflammatoire.

51. Au cours d’une réaction immunitaire adaptative, les étapes sont par ordre chronologique :
A. Phase effectrice – différenciation – amplification –sélection
B. Sélection – différenciation – amplification – phase effectrice
C. Différenciation – amplification – sélection – phase effectrice
D. Sélection – amplification – différenciation – phase effectrice. Vrai
Lot de souris
A
B
C
D
Traitements
aucun
Irradiation ( destruction des cellules immunitaires)

injection lymphocytes T
injection lymphocytes T et B
injection lymphocytes B

Injection de globules rouges de moutons ( GRM)
7 jours plus tard, mise en culture du sérum en présence de GRM
résultats

globules rouges de moutons agglutinés

globules rouges de moutons libres

globules rouges de moutons agglutinés

globules rouges de moutons libres

52.
D’après le protocole, l’expérience du tableau ci-dessus a pour objectif :
A. De déterminer si les globules rouges de mouton entraînent une réaction immunitaire adaptative chez la souris
B. De déterminer si les globules rouges de mouton sont détruits par phagocytose
C. De déterminer si les globules rouges de mouton entraînent une réaction immunitaire innée chez la souris
D. De déterminer quelles cellules sont nécessaires à la production d’anticorps. Vrai.
L'injection de globules rouges de mouton permet de déclencher le mécanisme de production d'anticorps.

53. D’après les résultats de l’expérience on peut conclure :
A. Les lymphocytes T seuls sont nécessaires à la production d’anticorps
B. Les lymphocytes B sont suffisants à la production d’anticorps
C. Une coopération entre lymphocyte B et T est nécessaire à la production d’anticorps. Vrai
D. Des cytokines sont nécessaires à la coopération entre lymphocyte B et T.

54. En 2013, l’actrice Angélina Jolie choisit de se faire enlever les deux seins dans l’espoir d’éviter un cancer. Elle est porteuse d’une mutation d’un gène BRCA.
A. Que les cancers du sein ont tous une origine génétique. L'alcool, la sédentarité, le surppoids sont également en cause.
B. Que certaines mutations du génome déclenchent systématiquement la survenue d’un cancer du sein
C. Qu’Angélina Jolie avait un risque accru de développer un cancer du sein. Vrai
D. Que sans son opération Angelina Jolie aurait développé un cancer du sein dans les 10 ans.

55. Les anticorps monoclonaux :
Le trastuzumab est un anticorps monoclonal utilisé depuis 2000 dans les traitements des cancers du sein associés à une forte activation du gène HER2, qui code le récepteur membranaire HER2. Lorsque ce gène est fortement activé, le cancer risque de croître plus rapidement. En association
avec d’autres traitements, le trastuzumab contribue à améliorer le taux de survie des patientes.
A. Le trastuzumab permet d’augmenter le nombre de macrophages spécifiques des cellules cancéreuses
B. Le trastuzumab permet d’augmenter l’efficacité des macrophages modifiés
C. Le trastuzumab est un anticorps spécifique de toutes les cellules cancéreuses et permet donc une phagocytose facilitée de ces cellules par les macrophages
D. Le trastuzumab se fixe spécifiquement sur les cellules cancéreuses d’un type de cancer du sein et permet donc de faciliter l’action des macrophages. Vrai.
En bloquant le récepteur HER2, protéine située à la surface des cellules du sein,  le
trastuzumab bloque le processus de division et de développement des cellules cancereuses. Il stimule de plus le système immunitaire.

56.
 La légende 2 du schéma ci-dessus correspond :
A. A l’ARN viral
B. A des récepteurs membranaires reconnaissant des antigènes à la surface des cellules de la muqueuse respiratoire
C. Des protéines membranaires permettant de se fixer sur des récepteurs des cellules de la muqueuse respiratoire.Vrai
D. La membrane lipidique.

57. Réponse immunityaire au vaccin contre la grippe.
A. Que les lymphocytes T cytotoxiques sont les acteurs principaux de la réponse immunitaire contre le virus de la grippe
B. Que l’immunité innée est suffisante pour contrer les virus de la grippe
C. Que les plasmocytes peuvent jouer un rôle dans la défense contre le virus de la grippe
D. Que les lymphocytes T CD4 sont essentiels dans la défense contre le virus de la grippe. Vrai.



  
menu