Mathématiques,
Concours Geipi Polytech 2019
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Exercice 1.
I-1- QCM
Quel est l’ensemble E des réels x vérifiant 1 − ln 𝑥 ≥ 0 ?
1 > ln x ; e1 < x. x appartient à ]0 ; e ].
A) E= [1 ;+∞[ ; B) E = [e ;+∞[ ; C) E = ]−∞ ; e] ; D) E = ]0 ; e]. Vrai.
Le plan P est rapporté à un repère orthonormé direct.
On considère les fonctions f et g définies par :
pour tout réel x > 0 , f(x) = exp[(ln(x) / x ] et g(x) = ln(x) / x.
On note Cf la courbe représentative de f dans le plan P.
I-2- Déterminer la limite de f quand x tend vers plus l'infini. Justifier.
Quand x tend vers plus l'infini ln(x) / x tend vers zéro. Par conséquent f(x) tend vers 1 quand x tend vers plus l'infini.
I-3- On en déduit que Cf admet une asymptote Δ. Donner une équation de Δ.
y = 1.
I-4- Déterminer la limite de f(x) quand x tend vers 0+. Justifier la réponse.
ln(x) / x tend vers moins l'infini quand x tend vers 0+. Par conséquent f(x) tend vers 0 quand x tend vers 0+.
I-5- g' désigne la dérivée de g. Calculer, pour tout x > 0, g′(x). Détailler le calcul.
u = ln(x) ; v = x ; u' = 1 / x et v' =1. g' =(u'v -v'u) / v2 = (1 -ln(x) ) / x2.
I-6- f ′ désigne la dérivée de f. Pour tout x > 0, on peut écrire f '(x) sous la forme : f '(x) = (1 − ln x) h(x)
Donner l’expression de h(x) en fonction de x. Quel est le signe de h(x) ?
On pose X = ln(x) / x ; u = ln(x) ; v = x ; u' = 1 / x et v' =1.
X' =(u'v -v'u) / v2 = (1 -ln(x) ) / x2.
f '(x) = X ' e X = (1 -ln(x) ) / x2 exp(ln(x) / x)). h(x) = exp (ln(x) / x) / x2 >0.
I-7- Dresser le tableau des variations de f sur ]0 ;+∞[ .
I-8 Soit A le point de Cf d’abscisse xA = e et d’ordonnée yA .
Donner la valeur exacte de y𝐴 , puis une valeur approchée de y𝐴 à 10−1 près.
I-9- QCM
Soit B le point de Cf d’abscisse xB= 1. TB désigne la tangente à Cf au point B.
Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ?
A) TB a pour équation y = x-e ; B) TB a pour équation y = ex
C) TB a pour équation y = x ; D) TB passe par le point O.
Coefficient directeur de TB : f '(1) = 1 ;
TB passe par le point B( 1 ; 1) ; 1 =1 +b soit b = 0. I-10- QCM
Soit C le point de Cf d’abscisse xC= 0,5 et d’ordonnée yC . Que vaut yC ?
f(0,5) = exp (2 ln(0,5) =exp(ln(0,52))= 0,52 = 0,25.
A) yC = 1/4 ; B) yC = exp 0,5 ln(0,5)). Faux. C) yC = exp (ln(2) / 2). Faux. D) yC = exp(-2 ln(2)). I-11- Placer, sur la figure, les points A, B et C.
Tracer la droite Δ, la tangente TB , la tangente à Cf au point A. Puis tracer la courbe Cf.
I-12- VRAI-FAUX
Soit m un réel. On s’intéresse au nombre de réels x > 0 vérifiant l’équation : f(x) = m
Pour chacune des trois assertions suivantes, indiquer si elle est vraie ou fausse.
Aucune justification n’est demandée. Une réponse incorrecte sera pénalisée, une absence de réponse ne sera pas pénalisée.
A) Si m appartient à ]1 ; yA[ , l’équation a exactement deux solutions. Vrai.
B) Si m < 0 ou m ≥ yA , l’équation n’admet aucune solution. Faux.
C) Si m = 1, l’équation a exactement deux solutions. Faux.
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Exercice 2. Les deux parties sont indépendantes.
Première partie - QCM
II -1- Lors d’une même expérience aléatoire, deux événements A et B vérifient :
P(A) = 0,4 ; P(B) = 0,6 ; P(A∩ non B)= 0,3.
Parmi les assertions suivantes, lesquelles sont vraies ?
A) P(A ∩ B) = 0,1 ; B) P(A ∩ B) = 0,24
C) P(A∪ B) = 1 ; D) P(A ∪ B) = 0,9.
II -2- X désigne une variable aléatoire suivant la loi uniforme sur l’intervalle [3 ; 18].
Soit P1 la probabilité que X soit compris entre 5 et 10 sachant que X est strictement supérieur à 4. Que vaut P1 ?
A) P1 = 4 / 15 ; B) P1 = 5 /13 ; C) P1 = 5 /14; D) P1 = 1/3. II -3- Soit l > 0. X désigne une variable aléatoire suivant la loi exponentielle de paramètre l.
Soit P2 la probabilité que X soit compris entre 2 et 5. Que vaut P2 ?
P(X < 2)=1-e-2l ; P(X < 5)=1-e-5l ; P(2 < X < 5)= e-2l -e-5l . Réponse C.
𝐈𝐈𝐈𝐈 -4- Soit l > 0. X désigne une variable aléatoire suivant la loi exponentielle de paramètre l.
Soit P3 la probabilité que X soit supérieure à son espérance E(X). Que vaut P3 ?
E = 1 / l ; P3 = P(X > E) = exp(-l / l) = e-1. Réponse A.
Deuxième partie. Soit
n un entier naturel non nul. Pour un jeu de dé, qui se joue en n
parties, on utilise un seul dé non pipé à six faces. On suppose que les
résultats des parties successives sont indépendants. Lors d’une partie,
le joueur lance le dé.
• S’il obtient un chiffre pair, alors il reçoit autant d’euros que le nombre apparu sur le dé.
• S’il obtient un chiffre impair, alors il perd m euros, m désignant un réel positif.
On note Gn la variable aléatoire correspondant au gain du joueur lors de la n-ième partie. Ce gain est donc positif ou négatif.
On suppose que le joueur décide de faire une seule partie. II -5- Compléter le tableau donnant la loi de G1.
x
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2
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4
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6
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-m
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P(G1 = x)
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1/6
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1 / 6
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1 / 6
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0,5
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II -6- Donner la probabilité P1 que le joueur ait un gain positif. P1 = 0,5. II -7- Donner, en fonction de m, la valeur de l’espérance E(G1). Détailler le calcul.
E(G1) = 2 x1 /6 +4 x1 / 6 +6 x 1 /6 -m / 2= 2- 0,5 m. II -8- Pour quelles valeurs de m a-t-on E(G1) ≥ 0 ?
2-0,5 m > 0 ; m < 4.
Dans la question suivante, on suppose que le joueur joue successivement deux parties et que m = 4. II -9- On note GT = G1 + G2 la variable aléatoire correspondant au gain total du joueur à l’issue des deux parties. Calculer la probabilité P2 que le joueur ait un gain total nul. Détailler le calcul.
P2 =P(GT=0) = P(G1=4) n P(G2 = -4) + P(G1= -4) n P(G2 = 4)=P(G1=4) x P(G2 = -4) + P(G1= -4) x P(G2 = 4)=0,5 x 1/6 +0,5 x1 /6 = 1 /6.
Dans la suite, n est quelconque. II-10- Soit X la variable aléatoire égale au nombre de parties où le joueur a un gain positif.
Donner la loi de X. Préciser ses paramètres.
X suit la loi binomiale de paramètre n et 0,5. II-11- Notons qn la probabilité que le joueur ait un gain positif à au moins une des n parties.
Donner l’expression de qn en fonction de n.
qn = 1-0,5n. II-12- Déterminer le nombre minimal n0
de parties que le joueur doit faire pour que la probabilité précédente
soit strictement supérieure à 0,99. Détailler les calculs.
qn > 0,99 ; 1-0,5n > 0,99 ; 0,5 n < 0,01 ; n log (0,5) < log (0,01) ; -0,301 n < 2 ; n > 2 / 0,301 ; n0 = 7.
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Exercice 3.
La première question est indépendante.
III-1- VRAI-FAUX
On considère, dans l’espace, deux droites D et D' et deux plans P et P′.
Pour chacune des assertions suivantes, indiquer si elle est vraie ou
fausse. Aucune justification n’est demandée. Une réponse incorrecte
sera pénalisée, une absence de réponse ne sera pas pénalisée.
A) Si D et D′ ne sont pas parallèles, alors elles sont sécantes. Faux.
B) Si D et D′ sont sécantes, alors elles sont coplanaires. Vrai.
C) Si D est orthogonale à P, alors elle est orthogonale à toute droite contenue dans P. Vrai.
D) Si P et P′ sont parallèles, alors toute droite de P est parallèle à toute droite de P′. Faux.
Dans l’espace rapporté à un repère orthonormé, on considère :
• les points A, B et C de coordonnées respectives :
A (1 ; 1 ; 1) ; B( 1 ; 1 ; 1,5) ; C(2 ; 1 ; 1)
• le plan P d’équation cartésienne : x − y + 2 z − 3 = 0.
III-2- Parmi les points A, B et C, lesquels appartiennent au plan P ?
xA -yA +2 zA -3 =1-1+2-3 = -1, différent de zéro, A n'appartient pas au plan P.
xB -yB +2 zB -3 =1-1+2x1,5-3 =0, B appartient au plan P.
xC -yC +2 zC -3 =2-1+2-3 = 0, C appartient au plan P.
III-3- QCM
Parmi les vecteurs suivants, lesquels sont normaux au plan P ?
Coordonnées d'un vecteur normal au plan P : (1 ; -1 ; 2).
III-4- Soit D la droite passant par le point A et orthogonale au plan P.
Donner un système d’équations paramétriques de la droite D.
Coordonnées d'un vecteur directeur de la droite D : (1 ; -1 ; 2).
La droite passe par le point A (1 ; 1 ; 1).
Par suite x = t+1 ; y = -t+1 ; z = 2t +1 avec t réel.
III-5- Soit K le projeté orthogonal du point A sur le plan P.
Déterminer les coordonnées (xK ; yK ; zK) du point K. Justifier la réponse.
Le vecteur AK et le vecteur de coordonnées (1 , -1 ; 2) sont colinéaires.
Par suite xK-1 = k' ; yK-1 = -k' ; zK -1 = 2k'.
xK = k' +1; yK = -k' +1 ; zK = 2k'+1.
K appartient au plan P : k' +1+k'-1+2(2k'+1)-3=0 ; k' = 1 / 6.
K( 7 /6 ; 5 / 6 ; 4 /3).
III-6- Donner les coordonnées du vecteur BC.
(xC-xB ; yC-yB ; zC-zB) soit (1 ; 0 ; -0,5).
III-7- Soit P1 le plan passant par le point A et orthogonal à la droite (BC).
Donner une équation cartésienne du plan P1.
Coordonnées d'un vecteur orthogonal à P1 ( 1 ; 0 ; -0,5) : x +0 y -0,5 z +d = 0 ; x -0,5z +d = 0.
A appartient à ce plan : xA -0,5ZA +d = 0 ; 1-0,5 +d = 0 ; d = -0,5.
x -0,5z -0,5 = 0.
III-8- QCM
Parmi les systèmes paramétriques suivants, lesquels représentent la droite (BC) ?
Coordonnées d'un vecteur directeur de la droite (BC) : (1 ; 0 ; -0,5) ou encore (2 ; 0 ; -1).
La droite passe par B(1 ; 1 ; 1,5) : x=2t +1 ; y =1 ; z = -t +1,5 avec t réel.
La droite passe par C(2 ; 1 ; 1) : x =2 t'+2 ; y = 1 ; z = - t' +1 avec t' réel.
III-9- Soit H le projeté orthogonal du point A sur la droite (BC).
Donner les coordonnées (xH, yH, zH) du point H.
Le vecteur AH ( xH-1 ; yH-1 ; zH-1) et le vecteur BC (1 ; 0 ; -0,5) sont orthogonaux.
xH-1 -0,5(zH-1) = 0 soit xH-0,5 zH-0,5 = 0.
H appartient à la droite (BC) : xH=2t +1 ; yH =1 ; zH = -t +1,5.
2t +1 -0,5(-t+1,5) -0,5 =0 ; 2,5 t =0,25 ; t = 0,1.
xH=0,2 +1=6 /5 ; yH =1 ; zH = -0,1 +1,5 = 7 / 5.
III-10- Déterminer une équation du plan P2 passant par le point A et parallèle à P. Justifier la réponse.
Plans parallèles : équation de P : x − y + 2 z − 3 = 0
équation de P2 : x − y + 2 z +d = 0
A appartient à P2 : xA -yA +2zA +d = 0 ; 1-1+2+d=0 ; d=-2.
x − y + 2 z -2 = 0
III-11- Calculer la distance d entre les plans P et P2. Détailler le calcul.
A(1 ; 1 ; 1) ; K( 7 /6 ; 5 / 6 ; 4 /3).
AK2 =(7 / 6 -1)2 +(5 / 6 -1)2 +(4 / 3-1)2 = 1 /6 ; AK = 1 / 6½.
III-12- VRAI-FAUX Pour
chacune des assertions suivantes concernant les positions relatives des
droites (BC) et (HK), indiquer si elle est vraie ou fausse. Aucune
justification n’est demandée. Une réponse incorrecte sera pénalisée,
une absence de réponse ne sera pas pénalisée.
A) Elles sont sécantes Vrai ; B) Elles sont parallèles
C) Elles sont orthogonales vrai ; D) Elles sont coplanaires Vrai.
K( 7 /6 ; 5 / 6 ; 4 /3).
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Exercice 4.
Les trois parties sont indépendantes.
Dans tout l’exercice, a désigne un nombre réel strictement supérieur à 1.
Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormé direct.
Soient A et B les points d’affixes respectives :
z𝐴 = 2 + 2 i (a2 − 1)½ et z𝐵= 4
On définit les points C, D, H par :
• C est le symétrique de A par rapport à l’axe des abscisses.
• D est le symétrique de A par rapport au point O ;
• H est le projeté orthogonal de B sur la droite (AD).
On note z𝐶, z𝐷 et z𝐻 les affixes respectives des points C, D et H.
Première partie.
Dans cette partie, on suppose que a = 2.
IV-1- Écrire la forme algébrique de z𝐴 . Donner son module |z𝐴|.
Puis écrire la forme exponentielle de z𝐴 .
z𝐴 = 2 + 2 i 3½ ; |z𝐴| = (22 +(2 *3½)2)½ =(4 +12)½ ; |z𝐴| = 4.
zA / |zA| = 0,5 + i 3½/ 2 = cos (p/3 + i sin (p /3). zA = 4 exp (ip/3).
IV-2- Donner la valeur de z𝐶 sous forme algébrique et exponentielle.
zC = 2 - 2 i 3½ ; zC = 4 exp(-ip/3).
IV-3- QCM
Parmi les expressions suivantes, laquelle correspond à la forme exponentielle de zD ?
zC = 4 exp (i 4p/3) = 4 exp (- i 2p/3) Réponse C.
IV-4- Sur la figure, placer les points A, B, C et D..
Faire apparaître la construction qui vous permet de placer les points correctement.
IV-5- Donner la nature précise du triangle OAB et du quadrilatère ABCD.
Le triangle OAB est équilatéral.
ABCD est un trapèze.
IV-6- Justifier géométriquement que zH = 0,5 zA. En déduire la forme algébrique de zH. Placer le point H sur la figure
HB est la hauteur d'un triangle équilatéral, c'est donc la médiatrice du segment [OA].
OH = HB =0,5 OA. zH = 1 + i 3½ ;
IV-7- QCM
Soit A l’aire, en unités d’aire, du quadrilatère ABCD. Quelle est la valeur exacte de A ?
(BC + AD x HB / 2 avec BC = AB = AO = 4 ; AD = 8 et BH = 2 x 3½.
A = 12 x3½. Réponse C.
Dans la suite, a est quelconque
Deuxième partie.
IV-8- Notons ℓ1 et ℓ2 les longueurs respectives des diagonales [OB] et [AC] du losange OABC .
Donner la valeur exacte de ℓ1. Donner une expression de ℓ2 en fonction de a.
OB =4 ;
OA = [( 22 + 4 (a2 − 1)]½ =2a.
AC = 2 (OA2 - (0,5 OB2)½ =2(4a2-4)½ = 4(a2-1)½.
IV-9- Pour quelle(s) valeur(s) de a le quadrilatère OABC est-il un carré ? Justifier la réponse.
Les diagonales d'un carré sont égales : 4 = 4(a2-1)½.
16 = 16(a2-1) ; 16a2 =32 ; a = ±2½ ; or a >0 ; a = 2½.
Troisième partie.
Soient (E) et (E′) les équations d’inconnue complexe z :
(E) ∶ z2– 4 z + 4 a² = 0 (E′) ∶ z³ – 4 𝑧² + 4 a² z = 0
IV-10- Justifier que l’équation (E) admet deux racines complexes non réelles.
Discriminant D = 16-16a2 = 16 (1-a2) avec a > 1.
Le discriminant étant négatif, l'équation (E) admet deux racines complexes.
IV-11- On note z1 et z2 les deux solutions de l’équation (E).
Donner les expressions de z1 et z2 en fonction de a.
z1 =( 4+4i(1-a2)½ ) / 2 = 2+2i(1-a2)½ et z2 = 2-2i(1-a2)½.
IV-12- En déduire l’ensemble ℰ′ des solutions de l’équation (E'′).
z³ – 4 𝑧² + 4 a² z =z( z2– 4 z + 4 a² )=0.
Solutions : 0 ; 2+2i(1-a2)½ et z2 = 2-2i(1-a2)½.
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