En
poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation
de Cookies vous proposant des publicités adaptées à vos centres
d’intérêts. L’alimentation
électrique générale du lycée est caractérisée par une puissance
apparente de
240 kVA. I.
En France,
l’alimentation en énergie varie en fonction de la puissance souscrite. ·
Lorsque la puissance supérieures
à 250 kVA, le
client est alimenté par une alimentation triphasée HTA sans neutre dite
de 2ème catégorie,
comprise entre 5 kV et 33 kV (généralement
20 kV). 1. Citer le type de
réseau choisi. Réseau
triphasé BT 230 / 400 V. 2. Préciser la
valeur de la tension composée.
400 V. 3. Citer les
avantages et l’inconvénient de l’abonnement en triphasé. Avantages
: distribution sur de longues distances, puissances élevées. Inconvénient
: risque de déséquilibrage. II.
Le schéma
électrique de l’installation est donné. 1.
Reproduire
le
tableau donné ci-dessous et indiquer la valeur efficace des tensions
d’alimentation des différents groupes. 2.
Indiquer le rôle
du système technique T1 du groupe 2 en précisant les valeurs efficaces
des
tensions en entrée et en sortie. Transformateur
abaisseur de tension. Entrée 400 V ; sortie 24 V. 3.
Préciser le rôle
du système technique T2 du groupe
3. Redresseur
: conversion alternatif - continu. II. Un groupe 4 de
type motopompe est connecté au réseau. Le
schéma et la
plaque signalétique sont donnés. 1.
Indiquer le type de moteur utilisé. Moteur
alternatif triphasé 2.
Calculer
la puissance électrique Pélec absorbée
par le moteur. Pu
/ rendement = 0,37 / 0,74 = 0,50 kW. Une
chaudière à
condensation est prévue en appoint voire en secours pour la production
d’eau
chaude en cas de basses températures ou de défaillance de la PAC. Un schéma
descriptif du fonctionnement
d’une chaudière à condensation est donné ci-dessous. Lors de la mise en marche de la chaudière à condensation, le circuit d’eau est réchauffé par le brûleur de gaz
naturel. La combustion du gaz émet des
fumées à haute température qui seront valorisées lors du processus de
condensation. Ces fumées sont constituées essentiellement de diazote N2, de dioxyde
de carbone CO2 et d’eau H2O. Dans le
cas d’une
chaudière classique, les fumées sont rejetées dans l’atmosphère. On s’intéresse à
la combustion d’une masse de 1 kg de méthane. Elle produit les
quantités
suivantes : En sortie du corps
de chauffe, ces produits sont à l’état gazeux à une
température qc
de 170 °C. Après
refroidissement, ces produits sont à une température qf de 45 °C. Chaleur latente de
vaporisation de l’eau : Lv = 2,26.103 kJ∙kg-1
Chaleur massique de la vapeur d’eau : cvap
eau = 2,01 J∙kg-1∙K-1
Chaleur massique de l’eau liquide : ceau
liq = 4,20 kJ∙kg-1∙K-1 Chaleur massique
du dioxyde de carbone CO2 et du diazote N2 : c = 1,05 kJ∙kg-1∙K-1 Calculer l’énergie
Q1 reçue par
le circuit de chauffage grâce à la condensation de la vapeur d’eau à la température constante 100°C. I.
Refroidissement des
produits 1.
Calculer
l’énergie Q2 reçue
par le circuit de chauffage grâce au
refroidissement du diazote de 170°C à 45°C. Q2
= 0,875 x1,05 (170-45)=114,84 ~115 kJ. 2. Calculer
l’énergie Q3 reçue
par le circuit de chauffage grâce au
refroidissement de la vapeur d’eau de 170°C
à 100°C. Q3
= 2,25 x2,01 (170-100)=316,57 ~317 kJ. 3. Calculer
l’énergie Q4 reçue
par le circuit de chauffage grâce au
refroidissement de l’eau liquide de 100°C à 45°C. Q4
= 2,25 x4,2 (100-45)=519,75 ~520 kJ. L’énergie Q5 reçue par
le circuit de chauffage grâce au refroidissement du dioxyde de carbone est égale à 361 kJ. II.
Intérêt de la
chaudière à condensation
|
|||||||||||||||||||||||||
|