d'après concours technicien météo 95. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de Cookies vous proposant des publicités adaptées à vos centres d’intérêts. |
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Dans le modèle dit planétaire de l'atome d'hydrogène on suppose que l'électron a un mouvement circulaire de rayon r autour du noyau constitué d'un proton. Ce mouvement a lieu sous l'action de la seule force que l'on prendra en compte, à savoir une force électrostatique attractive agissant sur l'électron dont la direction est celle de la droite joignant le proton et l'électron et dont la valeur est égale à ke²/r² où e représente la charge élémentaire et k une constante. On notera m la masse de l'électron.
masse de l'électron m = 9,1 10-31 kg ; e= 1,6 10-19 C ; k= 9 109 SI ; r= 5,3 10-11 m. corrigé L'électron est soumis à une force attractive centripète, perpendiculaire à son vecteur vitesse. Cette force ne travaille pas et en conséquence l'énergie cinétique de l'électron ne varie pas. La valeur du vecteur vitesse est alors constante : le mouvement est uniforme. D'après la seconde loi de Newton, l'accélération est centripète aN= v²/r de plus m aN= ke²/r² d'où : ke²/(mr²)= v²/r soit v² = ke²/(mr) v²= 9 109 * (1,6 10-19)² / (9,1 10-31 * 5,3 10-11)= 4,78 1012 ; v = 2,18 106 m/s. L'énergie mécanique est la somme de l'énergie cinétique et de l'énergie potentielle : E= ½mv² - ke²/r remplacer v² par son expression ci-dessus : E= ½ke²/r - ke²/r = -½ke²/r. E= - 0,5*9 109 * (1,6 10-19)² /5,3 10-11= 2,17 10-18 J =- 2,17 10-18 / 1,6 10-19 eV = -13,58 eV
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On se propose d'étudier la chute libre d'une bille supposée ponctuelle, lachée sans vitesse initiale. On négligera les frottements et on prend g= 9,8 m/s².
corrigé La bille n'est soumise qu'à son poids ,verticale vers le bas, de valeur mg La seconde loi de Newton s'écrit sur un axe vertical descendant : a= g La vitesse est une primitive de l'accélération : v= gt la hauteur de chute est une primitive de la vitesse : h = ½gt². Les dix derniers cm ( 0,1 m) sont parcourus en 40 ms( 0,04 s) : soit h la hauteur totale de chute : h = ½ gt² h-0,1 = ½g(t-0,04)² ; ½ gt²-0,1 = ½ gt²-0,04 gt + ½g*0,04² -0,1 = -0,04 *9,8t + 7,84 10-3 ; t = (1+7,84 10-3)/ (0,04 *9,8)=0,275 s. h= ½ gt² = 4,9*0,275² = 0,37 m.
0,85 = ½gt² soit t =0,416 s 0,85-0,1 = ½g(t-Dt)² = 4,9(0,416-Dt)² ; 0,75 /4,9 = (0,416-Dt)² 0,416-Dt= 0,391 soit Dt = 2,48 10-2 s = 24,8 ms. d'où la vitesse calculée : 0,1 / 2,48 10-2 = 4,03 m/s. vitesse théorique pour une hauteur de chute h=0,8 m : v²= 2gh = 2*9,8*0,8 = 15,68 ; v = 3,96 m/s écart : |Dv|= 0,07 m ; écart relatif
: 0,07/4*100 = 1,8 %.
0,1 / 2,38 10-2 > v exp>0,1 / 2,58 10-2 m/s 4,2 > vexp > 3,87 m/s.
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La tension aux bornes d'un résistor et l'intensité qui le travers sont proportionnelles. Visualiser la tension aux bornes du résistor c'est observer l'image de l'intensité au facteur R près. Le signal est pseudo-périodique : l'amplitude des oscillations diminue au cours du temps : une partie de l'énergie se dissipe dans le résistor lors des échanges d'énergie entre condensateur et bobine. Pseudo-période T = 14 ms = 0,014 s ; fréquence f = 1/0,014 = 71 Hz pseudo-pulastion w =2pf = 6,28 *71 =448 rad/s. LCw²= 1 d'où L=1/(Cw²) = 1/(5
10-6 *448²)= 1 H.
avec : T= 7 10-3 s ; f = 1/7 10-3 =143 Hz et w = 2pf = 897 rad/s La phase de l'intensité est choisie comme origine des phase et la tension uG est en avance d'environ 1,5 ms sur l'intensité. soit 1,5/7*2p =1,35 rad donc j = 1,35 rad expression de l'intensité : i( t) = Imax sin ( w t ) avec Imax = 2,2 / R= 2,2 / 150=0,0146 A. tan j = (Lw-1/Cw) / R soit R tanj =Lw-1/Cw ; Lw =R tanj +1/Cw L =(R tanj +1/Cw) / w = (150
*tan1,35 + 1/(5 10-6*897) / 897 = 1 H.
I= U/ Z avec Z²= R²+(Lw-1/(Cw)² intensité efficace I0 traversant le circuit à la résonance : à la résonance l'impédance Z est minimale et vaut Z= R, d'où I0 = U/R. y= I/I0 = R / [R²+(Lw-1/(Cw)²]½= R * [R²+(Lw-1/(Cw)²]-½ y= [1+ (Lw/R-1/(RCw))² ]-½ or Q= Lw0/R = 1/(RCw0) d'où L/R= Q/w0 et Lw/R =Qw/w0 or x= w /w0 d'où Lw/R = Q x . de même : 1/(RC) = Qw0 et 1/(RCw) = Qw0 /w = Q/x y = [1+ (Qx-Q/x)² ]-½ bande passante de ce circuit : Df = Q f0 avec f0= 71 Hz et w0 = 448 rad/s (voir question précédente) or Q= Lw0/R = 1*448 / 150 = 2,99 ; Df =2,99*71 = 212 Hz.
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On néglige les forces de frottement et le champ magnétique terrestre. Deux barres conductrices sont disposées parallèlement suivant la ligne de plus grande pente d'un plan incliné d'un angle a sur l'horizontale. Elles sont distante de L; leurs extrémités supérieures sont rellées entre elles par un générateur de f.e.m E et par un interrupteur K. Une barre conductrice est posée perpendiculairement sur les deux barres précédentes. Le contact électrique se fait en M et N, on le suppose parfait et de résistance nulle. ![]()
corrigé ![]() La tige MN est en équilibre sous l'action de son poids, verticale, vers le bas, valeur mg. de l'action des support R, perpendiculaire au plan de la force de Laplace F perpendiculaire au plan défini par MN et le champ magnétique B. La somme vectorielle des forces est nulle ; cette somme s'écrit, sur un axe parallèle aux rails et dirigé vers le haut : -mg sina + B I L=0 ; B= mg sina / (I L) de plus E= RI soit I= E/R ; B= mg R sina / (E L). avec : L= 0,05 m ; m= 0,01 kg ; E= 2 V ; R= 0,2 W ; a = 20 ° ; g=9,8 N/kg. B= 0,01*9,8*0,2*sin20/(2*0,05)= 0,067
T.
flux du champ magnétique B à travers la surface L v dt : dF= B L v dt Le flux varie et en conséquence une tension induite apparaît entre les points M et N telle que par ces effets électromagnétiques elle s'oppose à la variation de flux. uMN = dF/dt = B L v.
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